A l’Université de Namur, nous menons, depuis plusieurs années déjà, une politique volontaire et raisonnée en matière de genre. Dès 2011, un groupe de travail sur cette thématique a été mis sur pied. Depuis 2014, l'Université de Namur, comme toutes les universités francophones de Belgique et du F.R.S.-FNRS, compte un Comité Genre. Celui-ci suit la ligne politique définie par le vice-rectorat en charge du genre.
Le comité Genre
Depuis 2014, l'Université de Namur, comme toutes les universités francophones de Belgique et du F.R.S.-FNRS, compte un Comité Genre. Celui-ci assure trois missions principales couvrant tous les aspects relatifs aux problématiques de genre propres à son institution : informer, sensibiliser et mettre / être en réseau. Par celles-ci, il contribue à l’implantation et au développement de la politique de genre au sein de son établissement. Il suit la ligne politique définie par le vice-rectorat en charge du genre.
MISSIONS
- Rédiger un rapport annuel sur l’état de l’égalité de genre au sein de l’institution
- Assurer une meilleure visibilité à la question du genre au sein de l’institution, en conseillant les autorités de son institution sur les politiques à mener pour plus d’égalité des femmes et des hommes, en informant et sensibilisant la communauté universitaire et ses parties prenantes et en assurant une veille de la réalisation des actions mises en œuvre dans les plans d’action respectifs
- Participer aux réseaux institutionnels, régional, national et international en lien avec la question du genre
- Proposer un plan d’action en vue d’accroître l’égalité de genre au sein de l’institution
COMPOSITION
- Jérémy Dodeigne - Jérémy Dodeigne est professeur de science politique au Département de sciences politiques (FSESG). Il est également président de l'institut de recherches Transitions. Au sein du pôle des transformations démocratiques de l'institut, ses recherches portent notamment sur la représentation politique des femmes et les évolutions des stéréotypes de genre en politique dans les démocraties européennes (POLSTYLE project). Depuis 2021, il est membre de la Commission genre en l'enseignement supérieur (CoGES) à l’ARES.
- François-Xavier Fiévez - Diplômé de l’Université Catholique de Louvain, il a réalisé un travail de recherche dans le département de « Women’s studies » sur la lecture féministe d’auteurs afro-américaines contemporaines. Maître en Didactique des Langues Etrangères à l’UNamur, il travaille sur les questions liées au thème « Queering the English language classroom » (Paiz, 2020).
- Nathalie Grandjean - Docteure en Philosophie (UNamur, 2018), ses domaines de recherche sont le corps et la technologie, l’éthique du numérique, ainsi que la philosophie féministe et de genre et les écoféminismes. Elle a édité les ouvrages « Corps et Technologies. Penser l’hybridité » (avec Claire Lobet, Peter Lang, 2012), « Valeurs de l’attention » (avec Alain Loute, Presses du Septentrion, 2019). Elle est également l'autrice de deux monographies : « Généalogie des corps de Donna Haraway. Féminismes, diffractions, figurations », parue aux Presses de l’ULB en 2021 et « Le visage capturé. De la reconnaissance faciale au distanciel » aux Presses de Louvain-la-Neuve, en 2022. Elle est membre associée du Centre Vulnérabilités et Sociétés (V&S). Elle est administratrice de Sophia, le réseau belge d’études de genre (www.sophia.be) et membre du comité de gestion du Master de spécialisation en Études de Genre. Elle a assumé la fonction de Personne Contact Genre pour l'UNamur, d'octobre 2017 à janvier 2020.
- Julie Henry - Docteure en informatique et cheffe de projet STEAM. Ces travaux portent, entre autres, sur les stéréotypes de genre et leur influence sur l'orientation professionnelle, notamment en ce qui concerne les métiers des domaines STEM. Elle représente l'UNamur au sein du groupe Women in Digital (SPF - Économie).
- Coline Leclercq - En tant que Personne de Contact Genre (PCG) de l'Université de Namur, Coline Leclercq veille à la mise en application des engagements que l'université prend pour favoriser l'égalité de genre en son sein, qu'il s'agisse de la communauté étudiante, des membres du personnel ou de la composition des instances de décision. À côté de cela, elle est aussi la personne référente du dispositif PHARE (Protection Harcèlement Etudiant). À ce titre, elle accueille et accompagne les étudiant·e·s victimes ou cibles de harcèlement.
- Romain Mertens - Assistant-doctorant à la Faculté de droit de l'UNamur. Ses recherches portent entre autres sur le droit de la non-discrimination. Il est membre du Comité Femmes et Sciences.
- Stéphanie Wattier - Professeure à temps plein à la Faculté de droit de l'UNamur, elle dispense notamment le cours de "droit, genre et société". Elle est directrice adjointe du Centre Vulnérabilités et Sociétés. Stéphanie Wattier est membre du Comité de gestion du Master de spécialisation en Etudes de genre et du Comité Femmes et Sciences.