La Faculté Economie Management Communication sciencesPo (EMCP) est une Faculté à l'écoute de la personne et ouverte sur le monde. Elle offre des formations dans quatre disciplines majeures, en cours du jour ou en horaire décalé, avec un engagement fort pour l’encadrement et l’accompagnement des étudiants. Elle mène une recherche scientifique d'excellence et interdisciplinaire dans des domaines de pointe. Pour les experts et décideurs de demain ! 

Les études

La Faculté offre des formations de qualité et de proximité insistant sur la rigueur et l'esprit critique au-delà de la connaissance pure. Elle veille à sensibiliser ses futurs experts et décideurs de demain à la responsabilité sociétale, à l'interdisciplinarité et à la dimension internationale. Les programmes de bachelier, de master et de doctorat qu’elle vous propose s’inscrivent dans quatre disciplines majeures :

Etudiants en sciences économiques

Pédagogie : un engagement fort !

La Faculté accorde une importance capitale à l’encadrement et l’accompagnement des étudiants que ce soit en cours du jour ou en horaire décalé. Learning by doing, service learning, hybridation en horaire décalé, … Venez découvrir notre approche pédagogique ainsi que nos différents dispositifs.

Eco études
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La Faculté, aussi en horaire décalé

Vous voulez entreprendre des études en horaire décalé ? La Faculté propose un ensemble de formations adaptées.

À la une

Actualités

Vif succès des chercheurs namurois lors de l’appel « Bourses et Mandats » 2025 du F.R.S.-FNRS

Prix

Le 1er juillet 2025, le F.R.S.-FNRS a publié la liste des lauréats aux différents mandats doctorants et postdoctorants, projets Télévie et co-financement avec le Fonds de recherche du Québec. Parmi ceux-ci, de nombreux chercheurs de l'UNamur ont obtenu un financement. Le taux de classement de l’UNamur, particulièrement élevé, démontre la qualité et l’excellence de la recherche au sein du campus namurois. 

Logo FNRS

Quatre chercheurs ont obtenu un mandat d’aspirant permettant de démarrer une recherche doctorale : 

  • Ludovic DUBOIS et Niccolò PARDINI de la Faculté de philosophie et lettres,
  • Jordan ABRAS de la Faculté d'Économie Management Communication sciencesPo (EMCP)
  • Noah DEVEAUX de la Faculté des Sciences.  

Le succès est aussi au rendez-vous pour les chercheurs postdoctorants dont neuf d’entre eux ont obtenu un mandat de chargé de recherches de 3 ans. 

  • Audrey LEPRINCE, Ciska DE RUYVER, Dmytro STRILETS et Cinzia TOMASELLI de la Faculté des Sciences
  • Nicolas MICHEL, Sébastien VANDENITTE et Manon HOUTART de la Faculté de philosophie et lettres
  • Pierre-Yves HUREL et Sebastian RONDEROS de la Faculté d'Économie Management Communication sciencesPo (EMCP). 

Par ailleurs, deux nouveaux chercheurs qualifiés rejoignent notre université. 

  • Marie DELABY au Département de biologie de la faculté des sciences
  • Matthieu PIGNOT au Département d’histoire de la Faculté de philosophie et lettres

Trois chercheurs namurois ont également obtenu un financement de l’appel Télévie.

  • Marc HENNEQUART pour des recherches visant à mettre en évidence de nouveaux biomarqueurs métaboliques pour une meilleur détection du cancer pancréatique
  • Carine MICHIELS pour des recherches sur la résistance des glioblastomes à la radiothérapie combinée à la chimiothérapie
  • Anne-Catherine HEUSKIN pour des recherches sur la compréhension de la reprogrammation des cellules immunitaires macrophages dans la formation du microenvironnement tumoral. 

Frédéric SILVESTRE (Faculté des sciences, Département de biologie, URBE) a également obtenu un financement pour un projet de collaboration FNRS-FRQ avec l’ULiège et des équipes québécoises de l’Université de Montréal et de l’Université du Québec à Montréal. Ce projet a pour objectifs de mettre au point une nouvelle méthode de détermination de l’âge basée sur des modifications moléculaires (horloge épigénétique) chez les bélugas (Delphinapterus leucas) de l’estuaire du Saint-Laurent au Québec et de comprendre le rôle de l’âge sur l’accumulation de contaminants ainsi que sur leur niveau de stress et leur état de santé. Il permettra de prendre de meilleures décisions afin d'améliorer le rétablissement de cette population en voie de disparition.  Dans le cadre de ce projet, deux thèses de doctorats (une à Namur et une à Montréal) sont ouvertes. Les candidats doivent être biologistes (ou diplôme jugé équivalent) avec un intérêt pour les questions de conservation et d'écotoxicologie, et avec de l'expérience en biologie moléculaire (omique) et bioinformatique. 

Félicitations à eux ! 

Benoit Decerf : Un expert engagé dans l'analyse de la pauvreté à l'UNamur

Portrait
Durable
Bien-être
ODD 1 - Pas de pauvreté

Mesurer la pauvreté et le bien-être, pour mieux comprendre les inégalités de développement entre les pays et mieux évaluer les politiques de développement. Telle est la thématique sur laquelle travaille Benoit Decerf, professeur assistant au sein du Département d’économie et chercheur au sein du centre de recherche en économie du développement de l’UNamur.  Il a participé à améliorer les indicateurs de pauvreté utilisés par la Banque mondiale. 

Benoit Decerf

Benoit Decerf, titulaire d'un doctorat en cotutelle entre l'UCLouvain et l'Université de Bielefeld (Allemagne), a rejoint l’Université de Namur en 2016. Son parcours l'a conduit à une expérience significative en tant que chercheur, notamment de 2020 à 2025, lorsqu'il a été détaché auprès du centre de recherche de la Banque Mondiale à Washington DC. Dans ce cadre, il a contribué au développement d’outils destinés à mesurer la pauvreté et le bien-être. Objectifs ? Mieux comprendre les inégalités de développement entre les pays et mieux évaluer les politiques de développement. 

Image
Benoit Decerf

Historiquement, le développement a été mesuré de manière purement monétaire, d’abord par le revenu moyen, puis en essayant de prendre en compte les inégalités de revenus, que ce soit via des indicateurs d’inégalités ou via des indicateurs de pauvreté se focalisant sur les moins bien lotis. Par la suite, plusieurs philosophes ont souligné l'importance de la santé, de l'éducation et d'autres dimensions du bien-être qui se mesurent difficilement avec des unités monétaires.

Benoit Decerf Chercheur au Centre de recherche en économie du développement (CRED)

« En effet, il parait difficile de chiffrer en euros l’état de santé d’une personne. Pour répondre aux limites des indicateurs monétaires, des alternatives telles que le Human Development Index ou les mesures de pauvreté multidimensionnelle ont été proposées pour inclure des aspects comme l'espérance de vie et l'accès à l'éducation », poursuit-il. Au sein du centre de recherche en économie du développement, le travail de Benoit Decerf s’inscrit dans ces efforts d’amélioration des indicateurs de développement.

Son passage par la Banque Mondiale lui a permis de participer à l’amélioration des indicateurs utilisés par cette institution. « En plus de mesurer la pauvreté extrême, définit par le seuil de 2,15 dollars par jour par personne, que les Nations Unies souhaiteraient voir passer sous la barre des 3% de la population mondiale d'ici 2030, la Banque Mondiale mesure également la "prospérité partagée". Ce concept se veut plus inclusif que la pauvreté, en prenant en compte les revenus de tout le monde et pas seulement des pauvres, mais maintient l’importance des inégalités en pondérant plus fortement les revenus des moins bien lotis », explique le chercheur en économie. Avec ses co-auteurs, Benoit Decerf a dès lors proposé un nouvel indicateur, le Prosperity Gap, qui se veut à la fois simple à expliquer et soucieux des inégalités. 

Cet exemple illustre bien l’approche pragmatique suivie dans ses recherches. Plutôt que de chercher l’indicateur idéal, Benoit Decerf cherche à partir des indicateurs existants, en identifiant leurs limites principales, et en cherchant à les améliorer tout en prenant en compte les contraintes auxquelles font face les praticiens. 

Inscriptions dans le secondaire : comprendre le mécanisme de choix des parents

Benoit Decerf travaille également sur le système d'inscription dans les écoles secondaires. Il analyse les mécanismes d'allocation des places, basés sur des algorithmes, en s'interrogeant sur leur capacité à respecter les priorités des parents, ainsi que sur les incitations et les comportements qu'ils engendrent pour les parents au moment où ils doivent transmettre leurs préférences entre les écoles. Il étudie donc la manipulabilité de ces algorithmes, afin de comprendre leurs implications sur le processus de choix des parents. 

Enseignement : Une plateforme sur la théorie des jeux

Au-delà de la recherche, Benoit Decerf enseigne notamment la théorie des jeux dans le cadre de la formation de premier cycle à l'UNamur. À travers un enseignement par projets, il a lancé la Game Theory Platform, une plateforme internet permettant aux étudiants d'expérimenter les concepts de théorie des jeux en jouant les uns contre les autres. Ce projet a été financé par un fond PUNCH en 2018, en collaboration avec le CS Lab asbl, une association de la faculté d'informatique dédiée à l'innovation technologique et au support informatique. 

Se former

Découvrez nos formations en économie, management, communication et sciences politiques. 

Un prestigieux prix FNRS en sciences sociales obtenu par le Professeur Jean-Marie Baland

Économie
Prix

Les bénéficiaires des Prix scientifiques quinquennaux du FNRS illustrent l’excellence de la recherche dans notre communauté. Aidés de leur équipe de recherche, ces scientifiques, chacun dans leur domaine, ont permis de reculer les frontières du savoir et contribuent ainsi au rayonnement de la recherche belge.

Jean-Marie Baland et les logos du prix quinquennal FNRS, de l'Institut DeFiPP et du centre de recherche CRED

Le Professeur Jean-Marie Baland du Département d'économie, Faculté EMCP et membre du Centre de Recherche en Economie du Développement (CRED) de l’Institut DeFiPP de l’Université de Namur a obtenu le Prix quinquennal Ernest-John Solvay en Sciences Sociales. Ces prestigieux prix sont au nombre de 6 et ont été créés en 1960 dans le but de récompenser des chercheuses et chercheurs exceptionnels en FWB, de la même manière que les Excellentieprijzen en Communauté flamande. 

Le Professeur Jean-Marie Baland a ainsi été élu parmi sept candidatures et pourra bénéficier d’un prix d’une valeur de 75.000 €. 

Félicitations à lui ! 

La cérémonie de remise des Prix Quinquennaux du FNRS et des Excellentieprijzen du FWO aura lieu le lundi 24 novembre 2025 à 10h30 à Bozar (sur invitation), en présence de Sa Majesté le Roi Philippe.

L'institut DeFIPP

L’Institut Development Finance & Public Policies (DeFiPP) consolide les travaux de recherche menés dans trois centres préexistants, le CRED, le CEREFIM et le CERPE, qui représentent chacun l'un des trois grands axes de recherche : l'économie du développement, les politiques publiques et l'économie et la finance régionales, et l'économie monétaire.

Comment bien se préparer à l’université ?

Pédagogie

Passer du secondaire à l’enseignement supérieur, c’est se lancer dans une aventure enthousiasmante qui peut aussi susciter quelques interrogations. Comment gérer la transition entre l’enseignement secondaire et l’université ? Comment se familiariser avec un nouvel environnement et de nouvelles méthodes de travail ? 

À partir du 18 août, l’Université de Namur accueille les futurs étudiants de première année pour les cours préparatoires. Un coup de pouce précieux pour bien démarrer son bachelier.

Cours préparatoires août 2025

Pour chaque bac, une préparation sur mesure

Spécialement conçus pour chaque programme de bachelier, les cours préparatoires permettent aux futurs étudiants de consolider les connaissances acquises dans des matières clés de l’enseignement secondaire pour aborder leur première année universitaire dans les meilleures conditions.

Durant les vacances d’été, deux semaines sont ainsi consacrées au renforcement des connaissances, mais aussi à une familiarisation avec les méthodes d’apprentissage et de travail propres à l’université. 

« Les cours préparatoires sont pensés pour préparer les étudiants au programme dans lequel ils s’inscrivent », explique Michel Bosquet, responsable d’Info études, le service qui organise les cours préparatoires. « Les modules sont conçus par des enseignants impliqués dans les programmes de première année de bachelier de la section concernée. Ils sont en lien avec des matières telles que les sciences, les mathématiques, les langues, voire les lettres dans certains cas. Sans anticiper la matière de première année, ces modules ciblent les compétences et connaissances qui sont préalablement nécessaires pour aborder sereinement les études. Les contenus varient donc selon les sections, afin de répondre au mieux aux exigences propres à chaque bachelier ».

Des journées bien remplies

De 8h30 à 16h30, les futurs étudiants emplissent les auditoires et les salles de cours de l’université.

Cours théoriques, séances d’exercices en petits groupes, ateliers de méthodologie, échanges de questions-réponses… Accompagnés de leurs précieux syllabi — les supports de cours pour toute la période des sessions préparatoires — les participants révisent les modules choisis, s’entraînent et s’encouragent dans une atmosphère dynamique et conviviale.

prepa infos pratiques

Zoom sur le module de méthodologie du travail universitaire

Organisé sous forme de séances interactives et pratiques, le module de « Méthodologie du travail universitaire » accompagne les participants dans le développement de stratégies d’apprentissage adaptées à leur future formation : prise de notes, gestion du temps de travail, mémorisation de quantités importantes de matières, identification des attentes des enseignants, outils d’études…

« Ce module transversal constitue une introduction aux cours de méthodologie proposés durant l’année. Le suivre dès les cours préparatoires permet d’anticiper une partie du travail et de réfléchir à sa manière d’étudier », précise Michel Bosquet.

Zoom sur le module de chimie 

Parmi les modules clés organisés en sciences, le module de chimie s’adresse aux futurs étudiants de biologie, chimie, géographie, géologie, pharmacie, sciences biomédicales et médecine vétérinaire et alterne entre révisions théoriques et séances d’exercices.

« Les cours préparatoires sont l’occasion, pour les futurs étudiants, de rencontrer le professeur qu’ils retrouveront en première année. Cela leur permet de se familiariser avec sa manière d’être, de découvrir comment il enseigne et de déjà bénéficier de quelques conseils utiles. Ils rencontrent également des assistants avec lesquels ils travailleront, par la suite, lors des séances d’exercices. Les futurs étudiants peuvent ainsi se rendre compte de la dynamique propre aux cours en auditoire, mais aussi de celle, différente, qui s’installe dans les plus petits groupes encadrés par les assistants » explique Diane Baillieul, Vice-Doyenne de la Faculté des sciences et coordinatrice pédagogique au sein de la Cellule didactique de Chimie.

 « Lorsque j’ai été engagée comme coordinatrice pédagogique, je partageais mon temps entre la Cellule didactique de chimie et l’enseignement de la chimie en 5e et 6e secondaire. Cette expérience m'a permis d'agir directement en connaissance de cause sur l'aide à la transition secondaire-université.

Le syllabus des cours préparatoires de chimie a été élaboré en collaboration avec ma collègue Mme Isabelle Ravet et avec la contribution de plusieurs enseignants du secondaire, en tenant compte des réalités du terrain et des référentiels en vigueur.

Les futurs étudiants sont souvent surpris de revoir des notions de 3e et 4e secondaire plutôt que celles de 5e et 6e, perçues comme plus concrètes. Ce choix repose sur deux raisons : d’une part, ces bases ont été vues plus tôt et sont souvent oubliées ; d’autre part, c’est précisément sur ces notions que débute le cours en première année. Les revoir permet donc aux futurs étudiants d’être plus rapidement à l’aise. Ce sont ces fondements qui servent de point de départ dans l’enseignement universitaire ».

Des rencontres et des découvertes

Au-delà des révisions, les cours préparatoires offrent une véritable immersion dans la vie universitaire. C’est l’occasion pour les futurs étudiants de faire connaissance avec de nouveaux amis et de découvrir l’environnement qui les accueillera.

Michel Bosquet nous explique : « On constate souvent que les étudiants qui ont suivi les cours préparatoires gardent, tout au long de l’année, des contacts avec les personnes rencontrées dans ce cadre-là. Dans un groupe de 20 à 25 personnes, il est plus facile de nouer des liens que dans un auditoire qui peut en compter 300 ou 400. Avoir déjà fait connaissance avec d’autres étudiants permet aussi de s’intégrer de manière plus sympa qu’en début d’année académique où tout s’enchaîne très vite. C’est donc une belle opportunité de se créer un réseau et d’avoir un soutien dès le départ ».

Durant la session, une visite guidée de deux heures permet d’explorer le site universitaire et la Faculté choisie : campus, amphithéâtres, laboratoires, bibliothèques, locaux de séminaires… Accompagnés par des étudiants, les participants reçoivent des informations utiles sur les études, les services, les infrastructures et les activités extra-académiques.

À la fin de la période des cours préparatoires, les participants peuvent écouter et poser leurs questions à des étudiants plus expérimentés qui témoignent et donnent leurs impressions sur l’année écoulée et sur les facteurs qui, selon leur expérience, ont contribué à leur réussite ou à leurs difficultés. « C’est une véritable opportunité car ce type de rencontre est rarement organisé en cours d’année », souligne Michel Bosquet.

C’est ensuite le temps de la détente. Les futurs étudiants sont invités par l’Assemblée générale des étudiants à participer au traditionnel barbecue de bienvenue puis à une première soirée dansante. Une belle manière de se familiariser avec l’atmosphère dynamique et conviviale de la vie étudiante avant la rentrée.

« Entrer à l’université, ce n’est pas seulement découvrir une nouvelle matière, c’est aussi apprendre à gérer tout ce qui l’entoure au quotidien. Nouer des amitiés, s’intégrer, participer aux activités extra-académiques ou sorties estudiantines … tout cela fait pleinement partie de l’aventure universitaire. Les cours prépas offrent un avant-goût de cette réalité et c’est vraiment une expérience à vivre, aussi pour aborder la rentrée plus sereinement », conclut Diane Baillieul.

Une validation de son choix d’études

Les cours préparatoires peuvent jouer un rôle déterminant dans la confirmation — ou la remise en question — du choix d’études des participants.

Lorsqu’un futur étudiant se sent perdu dans la matière ou en difficulté face au rythme et aux exigences de l’enseignement universitaire, c’est souvent le signe qu’une réflexion s’impose. Loin d’être un échec, cette prise de conscience est une opportunité précieuse pour réévaluer son orientation avant la rentrée. En cas de doute, un contact avec un conseiller en information et en orientation peut être pris pour explorer d’autres pistes ou affiner son projet personnel.

Envie de vous préparer avec nous ?

Découvrez la session de cours préparatoires de votre futur bachelier et prenez une longueur d’avance pour commencer l’année en confiance !

Cours préparatoires août 2025

« Lorsqu’un étudiant est motivé par son choix d’orientation, il est essentiel qu’il dispose des outils nécessaires pour concrétiser son projet. Afin de faciliter la transition entre l’enseignement secondaire et l’université, l’UNamur propose un ensemble de dispositifs d’accompagnement à la réussite, dont les sessions préparatoires constituent la première étape.

Bien entamer l’année académique est fondamental : tout ce qui peut être mis en place en amont de la rentrée représente un véritable atout pour aborder sereinement cette nouvelle phase, éviter le stress et prévenir le découragement. Démarrer dans de bonnes conditions poursuit un double objectif : favoriser le bien-être personnel et permettre une progression confiante dans son parcours universitaire. »

Diane Baillieul
Vice-Doyenne de la Faculté des sciences et coordinatrice pédagogique au sein de la Cellule didactique de Chimie

Vif succès des chercheurs namurois lors de l’appel « Bourses et Mandats » 2025 du F.R.S.-FNRS

Prix

Le 1er juillet 2025, le F.R.S.-FNRS a publié la liste des lauréats aux différents mandats doctorants et postdoctorants, projets Télévie et co-financement avec le Fonds de recherche du Québec. Parmi ceux-ci, de nombreux chercheurs de l'UNamur ont obtenu un financement. Le taux de classement de l’UNamur, particulièrement élevé, démontre la qualité et l’excellence de la recherche au sein du campus namurois. 

Logo FNRS

Quatre chercheurs ont obtenu un mandat d’aspirant permettant de démarrer une recherche doctorale : 

  • Ludovic DUBOIS et Niccolò PARDINI de la Faculté de philosophie et lettres,
  • Jordan ABRAS de la Faculté d'Économie Management Communication sciencesPo (EMCP)
  • Noah DEVEAUX de la Faculté des Sciences.  

Le succès est aussi au rendez-vous pour les chercheurs postdoctorants dont neuf d’entre eux ont obtenu un mandat de chargé de recherches de 3 ans. 

  • Audrey LEPRINCE, Ciska DE RUYVER, Dmytro STRILETS et Cinzia TOMASELLI de la Faculté des Sciences
  • Nicolas MICHEL, Sébastien VANDENITTE et Manon HOUTART de la Faculté de philosophie et lettres
  • Pierre-Yves HUREL et Sebastian RONDEROS de la Faculté d'Économie Management Communication sciencesPo (EMCP). 

Par ailleurs, deux nouveaux chercheurs qualifiés rejoignent notre université. 

  • Marie DELABY au Département de biologie de la faculté des sciences
  • Matthieu PIGNOT au Département d’histoire de la Faculté de philosophie et lettres

Trois chercheurs namurois ont également obtenu un financement de l’appel Télévie.

  • Marc HENNEQUART pour des recherches visant à mettre en évidence de nouveaux biomarqueurs métaboliques pour une meilleur détection du cancer pancréatique
  • Carine MICHIELS pour des recherches sur la résistance des glioblastomes à la radiothérapie combinée à la chimiothérapie
  • Anne-Catherine HEUSKIN pour des recherches sur la compréhension de la reprogrammation des cellules immunitaires macrophages dans la formation du microenvironnement tumoral. 

Frédéric SILVESTRE (Faculté des sciences, Département de biologie, URBE) a également obtenu un financement pour un projet de collaboration FNRS-FRQ avec l’ULiège et des équipes québécoises de l’Université de Montréal et de l’Université du Québec à Montréal. Ce projet a pour objectifs de mettre au point une nouvelle méthode de détermination de l’âge basée sur des modifications moléculaires (horloge épigénétique) chez les bélugas (Delphinapterus leucas) de l’estuaire du Saint-Laurent au Québec et de comprendre le rôle de l’âge sur l’accumulation de contaminants ainsi que sur leur niveau de stress et leur état de santé. Il permettra de prendre de meilleures décisions afin d'améliorer le rétablissement de cette population en voie de disparition.  Dans le cadre de ce projet, deux thèses de doctorats (une à Namur et une à Montréal) sont ouvertes. Les candidats doivent être biologistes (ou diplôme jugé équivalent) avec un intérêt pour les questions de conservation et d'écotoxicologie, et avec de l'expérience en biologie moléculaire (omique) et bioinformatique. 

Félicitations à eux ! 

Benoit Decerf : Un expert engagé dans l'analyse de la pauvreté à l'UNamur

Portrait
Durable
Bien-être
ODD 1 - Pas de pauvreté

Mesurer la pauvreté et le bien-être, pour mieux comprendre les inégalités de développement entre les pays et mieux évaluer les politiques de développement. Telle est la thématique sur laquelle travaille Benoit Decerf, professeur assistant au sein du Département d’économie et chercheur au sein du centre de recherche en économie du développement de l’UNamur.  Il a participé à améliorer les indicateurs de pauvreté utilisés par la Banque mondiale. 

Benoit Decerf

Benoit Decerf, titulaire d'un doctorat en cotutelle entre l'UCLouvain et l'Université de Bielefeld (Allemagne), a rejoint l’Université de Namur en 2016. Son parcours l'a conduit à une expérience significative en tant que chercheur, notamment de 2020 à 2025, lorsqu'il a été détaché auprès du centre de recherche de la Banque Mondiale à Washington DC. Dans ce cadre, il a contribué au développement d’outils destinés à mesurer la pauvreté et le bien-être. Objectifs ? Mieux comprendre les inégalités de développement entre les pays et mieux évaluer les politiques de développement. 

Image
Benoit Decerf

Historiquement, le développement a été mesuré de manière purement monétaire, d’abord par le revenu moyen, puis en essayant de prendre en compte les inégalités de revenus, que ce soit via des indicateurs d’inégalités ou via des indicateurs de pauvreté se focalisant sur les moins bien lotis. Par la suite, plusieurs philosophes ont souligné l'importance de la santé, de l'éducation et d'autres dimensions du bien-être qui se mesurent difficilement avec des unités monétaires.

Benoit Decerf Chercheur au Centre de recherche en économie du développement (CRED)

« En effet, il parait difficile de chiffrer en euros l’état de santé d’une personne. Pour répondre aux limites des indicateurs monétaires, des alternatives telles que le Human Development Index ou les mesures de pauvreté multidimensionnelle ont été proposées pour inclure des aspects comme l'espérance de vie et l'accès à l'éducation », poursuit-il. Au sein du centre de recherche en économie du développement, le travail de Benoit Decerf s’inscrit dans ces efforts d’amélioration des indicateurs de développement.

Son passage par la Banque Mondiale lui a permis de participer à l’amélioration des indicateurs utilisés par cette institution. « En plus de mesurer la pauvreté extrême, définit par le seuil de 2,15 dollars par jour par personne, que les Nations Unies souhaiteraient voir passer sous la barre des 3% de la population mondiale d'ici 2030, la Banque Mondiale mesure également la "prospérité partagée". Ce concept se veut plus inclusif que la pauvreté, en prenant en compte les revenus de tout le monde et pas seulement des pauvres, mais maintient l’importance des inégalités en pondérant plus fortement les revenus des moins bien lotis », explique le chercheur en économie. Avec ses co-auteurs, Benoit Decerf a dès lors proposé un nouvel indicateur, le Prosperity Gap, qui se veut à la fois simple à expliquer et soucieux des inégalités. 

Cet exemple illustre bien l’approche pragmatique suivie dans ses recherches. Plutôt que de chercher l’indicateur idéal, Benoit Decerf cherche à partir des indicateurs existants, en identifiant leurs limites principales, et en cherchant à les améliorer tout en prenant en compte les contraintes auxquelles font face les praticiens. 

Inscriptions dans le secondaire : comprendre le mécanisme de choix des parents

Benoit Decerf travaille également sur le système d'inscription dans les écoles secondaires. Il analyse les mécanismes d'allocation des places, basés sur des algorithmes, en s'interrogeant sur leur capacité à respecter les priorités des parents, ainsi que sur les incitations et les comportements qu'ils engendrent pour les parents au moment où ils doivent transmettre leurs préférences entre les écoles. Il étudie donc la manipulabilité de ces algorithmes, afin de comprendre leurs implications sur le processus de choix des parents. 

Enseignement : Une plateforme sur la théorie des jeux

Au-delà de la recherche, Benoit Decerf enseigne notamment la théorie des jeux dans le cadre de la formation de premier cycle à l'UNamur. À travers un enseignement par projets, il a lancé la Game Theory Platform, une plateforme internet permettant aux étudiants d'expérimenter les concepts de théorie des jeux en jouant les uns contre les autres. Ce projet a été financé par un fond PUNCH en 2018, en collaboration avec le CS Lab asbl, une association de la faculté d'informatique dédiée à l'innovation technologique et au support informatique. 

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Un prestigieux prix FNRS en sciences sociales obtenu par le Professeur Jean-Marie Baland

Économie
Prix

Les bénéficiaires des Prix scientifiques quinquennaux du FNRS illustrent l’excellence de la recherche dans notre communauté. Aidés de leur équipe de recherche, ces scientifiques, chacun dans leur domaine, ont permis de reculer les frontières du savoir et contribuent ainsi au rayonnement de la recherche belge.

Jean-Marie Baland et les logos du prix quinquennal FNRS, de l'Institut DeFiPP et du centre de recherche CRED

Le Professeur Jean-Marie Baland du Département d'économie, Faculté EMCP et membre du Centre de Recherche en Economie du Développement (CRED) de l’Institut DeFiPP de l’Université de Namur a obtenu le Prix quinquennal Ernest-John Solvay en Sciences Sociales. Ces prestigieux prix sont au nombre de 6 et ont été créés en 1960 dans le but de récompenser des chercheuses et chercheurs exceptionnels en FWB, de la même manière que les Excellentieprijzen en Communauté flamande. 

Le Professeur Jean-Marie Baland a ainsi été élu parmi sept candidatures et pourra bénéficier d’un prix d’une valeur de 75.000 €. 

Félicitations à lui ! 

La cérémonie de remise des Prix Quinquennaux du FNRS et des Excellentieprijzen du FWO aura lieu le lundi 24 novembre 2025 à 10h30 à Bozar (sur invitation), en présence de Sa Majesté le Roi Philippe.

L'institut DeFIPP

L’Institut Development Finance & Public Policies (DeFiPP) consolide les travaux de recherche menés dans trois centres préexistants, le CRED, le CEREFIM et le CERPE, qui représentent chacun l'un des trois grands axes de recherche : l'économie du développement, les politiques publiques et l'économie et la finance régionales, et l'économie monétaire.

Comment bien se préparer à l’université ?

Pédagogie

Passer du secondaire à l’enseignement supérieur, c’est se lancer dans une aventure enthousiasmante qui peut aussi susciter quelques interrogations. Comment gérer la transition entre l’enseignement secondaire et l’université ? Comment se familiariser avec un nouvel environnement et de nouvelles méthodes de travail ? 

À partir du 18 août, l’Université de Namur accueille les futurs étudiants de première année pour les cours préparatoires. Un coup de pouce précieux pour bien démarrer son bachelier.

Cours préparatoires août 2025

Pour chaque bac, une préparation sur mesure

Spécialement conçus pour chaque programme de bachelier, les cours préparatoires permettent aux futurs étudiants de consolider les connaissances acquises dans des matières clés de l’enseignement secondaire pour aborder leur première année universitaire dans les meilleures conditions.

Durant les vacances d’été, deux semaines sont ainsi consacrées au renforcement des connaissances, mais aussi à une familiarisation avec les méthodes d’apprentissage et de travail propres à l’université. 

« Les cours préparatoires sont pensés pour préparer les étudiants au programme dans lequel ils s’inscrivent », explique Michel Bosquet, responsable d’Info études, le service qui organise les cours préparatoires. « Les modules sont conçus par des enseignants impliqués dans les programmes de première année de bachelier de la section concernée. Ils sont en lien avec des matières telles que les sciences, les mathématiques, les langues, voire les lettres dans certains cas. Sans anticiper la matière de première année, ces modules ciblent les compétences et connaissances qui sont préalablement nécessaires pour aborder sereinement les études. Les contenus varient donc selon les sections, afin de répondre au mieux aux exigences propres à chaque bachelier ».

Des journées bien remplies

De 8h30 à 16h30, les futurs étudiants emplissent les auditoires et les salles de cours de l’université.

Cours théoriques, séances d’exercices en petits groupes, ateliers de méthodologie, échanges de questions-réponses… Accompagnés de leurs précieux syllabi — les supports de cours pour toute la période des sessions préparatoires — les participants révisent les modules choisis, s’entraînent et s’encouragent dans une atmosphère dynamique et conviviale.

prepa infos pratiques

Zoom sur le module de méthodologie du travail universitaire

Organisé sous forme de séances interactives et pratiques, le module de « Méthodologie du travail universitaire » accompagne les participants dans le développement de stratégies d’apprentissage adaptées à leur future formation : prise de notes, gestion du temps de travail, mémorisation de quantités importantes de matières, identification des attentes des enseignants, outils d’études…

« Ce module transversal constitue une introduction aux cours de méthodologie proposés durant l’année. Le suivre dès les cours préparatoires permet d’anticiper une partie du travail et de réfléchir à sa manière d’étudier », précise Michel Bosquet.

Zoom sur le module de chimie 

Parmi les modules clés organisés en sciences, le module de chimie s’adresse aux futurs étudiants de biologie, chimie, géographie, géologie, pharmacie, sciences biomédicales et médecine vétérinaire et alterne entre révisions théoriques et séances d’exercices.

« Les cours préparatoires sont l’occasion, pour les futurs étudiants, de rencontrer le professeur qu’ils retrouveront en première année. Cela leur permet de se familiariser avec sa manière d’être, de découvrir comment il enseigne et de déjà bénéficier de quelques conseils utiles. Ils rencontrent également des assistants avec lesquels ils travailleront, par la suite, lors des séances d’exercices. Les futurs étudiants peuvent ainsi se rendre compte de la dynamique propre aux cours en auditoire, mais aussi de celle, différente, qui s’installe dans les plus petits groupes encadrés par les assistants » explique Diane Baillieul, Vice-Doyenne de la Faculté des sciences et coordinatrice pédagogique au sein de la Cellule didactique de Chimie.

 « Lorsque j’ai été engagée comme coordinatrice pédagogique, je partageais mon temps entre la Cellule didactique de chimie et l’enseignement de la chimie en 5e et 6e secondaire. Cette expérience m'a permis d'agir directement en connaissance de cause sur l'aide à la transition secondaire-université.

Le syllabus des cours préparatoires de chimie a été élaboré en collaboration avec ma collègue Mme Isabelle Ravet et avec la contribution de plusieurs enseignants du secondaire, en tenant compte des réalités du terrain et des référentiels en vigueur.

Les futurs étudiants sont souvent surpris de revoir des notions de 3e et 4e secondaire plutôt que celles de 5e et 6e, perçues comme plus concrètes. Ce choix repose sur deux raisons : d’une part, ces bases ont été vues plus tôt et sont souvent oubliées ; d’autre part, c’est précisément sur ces notions que débute le cours en première année. Les revoir permet donc aux futurs étudiants d’être plus rapidement à l’aise. Ce sont ces fondements qui servent de point de départ dans l’enseignement universitaire ».

Des rencontres et des découvertes

Au-delà des révisions, les cours préparatoires offrent une véritable immersion dans la vie universitaire. C’est l’occasion pour les futurs étudiants de faire connaissance avec de nouveaux amis et de découvrir l’environnement qui les accueillera.

Michel Bosquet nous explique : « On constate souvent que les étudiants qui ont suivi les cours préparatoires gardent, tout au long de l’année, des contacts avec les personnes rencontrées dans ce cadre-là. Dans un groupe de 20 à 25 personnes, il est plus facile de nouer des liens que dans un auditoire qui peut en compter 300 ou 400. Avoir déjà fait connaissance avec d’autres étudiants permet aussi de s’intégrer de manière plus sympa qu’en début d’année académique où tout s’enchaîne très vite. C’est donc une belle opportunité de se créer un réseau et d’avoir un soutien dès le départ ».

Durant la session, une visite guidée de deux heures permet d’explorer le site universitaire et la Faculté choisie : campus, amphithéâtres, laboratoires, bibliothèques, locaux de séminaires… Accompagnés par des étudiants, les participants reçoivent des informations utiles sur les études, les services, les infrastructures et les activités extra-académiques.

À la fin de la période des cours préparatoires, les participants peuvent écouter et poser leurs questions à des étudiants plus expérimentés qui témoignent et donnent leurs impressions sur l’année écoulée et sur les facteurs qui, selon leur expérience, ont contribué à leur réussite ou à leurs difficultés. « C’est une véritable opportunité car ce type de rencontre est rarement organisé en cours d’année », souligne Michel Bosquet.

C’est ensuite le temps de la détente. Les futurs étudiants sont invités par l’Assemblée générale des étudiants à participer au traditionnel barbecue de bienvenue puis à une première soirée dansante. Une belle manière de se familiariser avec l’atmosphère dynamique et conviviale de la vie étudiante avant la rentrée.

« Entrer à l’université, ce n’est pas seulement découvrir une nouvelle matière, c’est aussi apprendre à gérer tout ce qui l’entoure au quotidien. Nouer des amitiés, s’intégrer, participer aux activités extra-académiques ou sorties estudiantines … tout cela fait pleinement partie de l’aventure universitaire. Les cours prépas offrent un avant-goût de cette réalité et c’est vraiment une expérience à vivre, aussi pour aborder la rentrée plus sereinement », conclut Diane Baillieul.

Une validation de son choix d’études

Les cours préparatoires peuvent jouer un rôle déterminant dans la confirmation — ou la remise en question — du choix d’études des participants.

Lorsqu’un futur étudiant se sent perdu dans la matière ou en difficulté face au rythme et aux exigences de l’enseignement universitaire, c’est souvent le signe qu’une réflexion s’impose. Loin d’être un échec, cette prise de conscience est une opportunité précieuse pour réévaluer son orientation avant la rentrée. En cas de doute, un contact avec un conseiller en information et en orientation peut être pris pour explorer d’autres pistes ou affiner son projet personnel.

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Cours préparatoires août 2025

« Lorsqu’un étudiant est motivé par son choix d’orientation, il est essentiel qu’il dispose des outils nécessaires pour concrétiser son projet. Afin de faciliter la transition entre l’enseignement secondaire et l’université, l’UNamur propose un ensemble de dispositifs d’accompagnement à la réussite, dont les sessions préparatoires constituent la première étape.

Bien entamer l’année académique est fondamental : tout ce qui peut être mis en place en amont de la rentrée représente un véritable atout pour aborder sereinement cette nouvelle phase, éviter le stress et prévenir le découragement. Démarrer dans de bonnes conditions poursuit un double objectif : favoriser le bien-être personnel et permettre une progression confiante dans son parcours universitaire. »

Diane Baillieul
Vice-Doyenne de la Faculté des sciences et coordinatrice pédagogique au sein de la Cellule didactique de Chimie

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Événements

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Cours préparatoires

Evénement institutionnel

Un programme pour chaque discipline

Durant la fin du mois d’août et début septembre, l’UNamur propose aux élèves de rhéto des cours préparatoires adaptés à leur future formation.

Ces sessions de révisions sont spécialement conçues pour accompagner les élèves dans leur transition vers l’université. En renforçant leurs bases dans les matières clés de leur future discipline, elles leur permettent d’aborder leur première année avec confiance. 

Ces cours préparatoires sont aussi une excellente opportunité pour découvrir le campus, rencontrer de futurs camarades et se familiariser avec les méthodes d’apprentissage propres à l’enseignement supérieur.

Une préparation au concours d’entrée en médecine

Pour les élèves qui souhaitent commencer les études de médecine, deux sessions sont également organisées selon un calendrier spécifique pour préparer le concours d’entrée.

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Rentrée académique 2025-2026

Evénement institutionnel

Au programme pour tous et toutes

09h30 | Cérémonie d'accueil des nouveaux étudiants

11h00 | Célébration de la rentrée à la Cathédrale Saint-Aubain (Place Saint-Aubain - 5000 Namur) puis accueil des étudiants par les Cercles.

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Cérémonie officelle de rentrée académique 2025-2026

Evénement institutionnel

Cérémonie officelle de rentrée académique 2025-2026

Institution
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19:00 - 22:00
Université de Namur, Auditoire Pedro Arrupe (PA01) - Rue Joseph Grafé 2 (Faculté des Sciences) / rue Grangagnage, Sentier Thomas - 5000 Namur

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Recherche

Les nombreuses équipes de recherche de la Faculté visent à produire une recherche d'excellence où la qualité prime sur la quantité. En concentrant leurs efforts de recherche dans des domaines de pointe, elles produisent une recherche scientifique, ouverte aux rapprochements interdisciplinaires, ayant un impact sociétal, à l’échelle nationale et internationale. Les recherches menées dans la Faculté nourrissent son enseignement et sa capacité à innover. 

International

En plus de l’internationalisation de la vie facultaire (cours et autres activités, étudiants, enseignants), la Faculté offre en Bachelier et en Master des opportunités de mobilité sous la forme de programmes d’échange “cours” (séjour Erasmus Belgica, Erasmus + et hors Europe) ainsi que sous la forme de stages en entreprise et autres organisations à l’étranger ! 

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Le mot du Doyen

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Les étudiants sont au cœur de notre métier, ils sont notre joie, notre fierté. En travaillant ensemble, de manière franche, créative et constructive, nous ferons en sorte de la faire briller tant à l’UNamur qu’en dehors de nos murs.
Pietro Zidda
Doyen de la Faculté Economie Management Communication sciencesPo (EMCP)
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