Bienvenue au Confluent des Savoirs (CDS), le service de sensibilisation, de vulgarisation et de diffusion de la recherche de l’Université de Namur. A travers ses activités et événements, l'équipe pluridisciplinaire et dynamique crée des ponts entre les chercheurs des sept facultés de l'université, la recherche et les citoyens !  

À la une

Actualités

André Füzfa reçoit un prix « coup de cœur » des Trophées Matière Grise

Prix

C’est une belle récompense pour le Professeur André Füzfa, astrophysicien au sein du Département de mathématique et responsable de l’Observatoire astronomique de l’UNamur. Ce 21 novembre, il a reçu le prix coup de cœur des Trophées de Matière Grise, l’émission de vulgarisation scientifique 2024 diffusée par la RTBF. Ces trophées visent à récompenser les scientifiques du pays, qui se mobilisent pour diffuser leur savoir et leurs connaissances au grand public.

André Fuzfa lors de sa remise du prix des Trophées Matière Grise

Avec le Professeur André Füzfa les notions les plus complexes de gravité, d’ondes gravitationnelles, ou encore de relativité deviennent (presque) des jeux d’enfants. Avec ses explications, le voyage interstellaire par exemple devient presqu’aussi simple qu’un trajet en bus !

L’astrophysicien a en effet cette capacité à rendre compréhensibles et attrayantes des recherches scientifiques de pointe, dans le domaine de la cosmologie et de l’astrophysique.  

A travers, ses cartes blanches, ses passages médiatiques, ou encore les visites de l’observatoire qu’il propose au grand public dès le plus jeune âge, il se passionne à expliquer le fonctionnement de notre système solaire et des planètes, mais aussi à attirer l’attention sur les enjeux environnementaux, économiques et scientifiques, liés à l’exploitation du domaine spatial.   

Sa passion du partage des connaissances le pousse même à se lancer dans une voie peu commune pour un scientifique : la science-fiction. André Füzfa est ainsi l’auteur d’un roman de science-fiction éducative intitulé "À l'appel des étoiles". Et son deuxième roman sortira en janvier 2025.  

En remettant ce prix, l’émission « Matière Grise », en partenariat avec Paris Match, tenait à saluer et à reconnaitre l’investissement d’André Füzfa, dans la vulgarisation scientifique.  

« Cette reconnaissance me fait très plaisir. Et je n’m’y attendais pas. Je fais de la vulgarisation scientifique, non pas pour moi, mais pour les autres. Pour la société. Parce que la connaissance et sa diffusion dans toutes les strates, rend notre société plus démocratique, plus durable. Tout cela participe à augmenter l’intelligence collective, et c’est particulièrement utile dans un contexte où les fakenews occupent une place importante ».  

Quand on lui demande quelle est son astuce pour être un bon vulgarisateur, André Füzfa n’hésite pas une seconde. « J’ai gardé un esprit d’enfant et cet émerveillement pour les choses qui m’entourent, dont mon métier de scientifique. Cela me permet d’aborder mon travail et de manière différente. Je m’amuse et je m’enrichis aussi humainement en faisant de la vulgarisation scientifique », confie-t-il.  

Retour en images sur la remise du prix à André Füzfa

©Paris Match

Julie Laloy (Narilis) également mise à l’honneur

Outre ses prix coups de cœur et les prix du public, l’émission Matière grise a aussi salué lors de la cette cérémonie, les chercheurs et médecins qui ont, eux aussi, participé de manière significative à Matière Grise ou à une large diffusion des savoirs scientifiques au cours de ces dernières années. Parmi eux, se trouve Julie Laloy qui mène des recherches dans le domaine de la Pharmacologie au sein de l’institut Narilis. Elle travaille notamment sur l'évaluation de la sécurité des nanomatériaux pour les travailleurs et le grand public et sur la standardisation des procédures pour les nanomatériaux à travers différents projets de recherche nationaux et internationaux.

Actualité

Stellar Scape – une exposition entre arts et sciences

Evénement
Mathématique
Géologie

Ce vendredi 21 juin avait lieu le vernissage de la nouvelle exposition du KIKK au Pavillon : Stellar Scape, qui se tiendra jusqu’en janvier 2025. Elle nous plonge au cœur de l’astronomie et des nouvelles explorations spatiales, à travers le regard d’une vingtaine d’artistes, ingénieurs et chercheurs et chercheuses.

Exposition Stellar Scape

L’art est au cœur des moyens de communication humains, c’est un vecteur d’émerveillement, d’émotions, de surprises et d’interrogations, qui stimule notre imagination. Une des clés pour un apprentissage réussi et une bonne rétention des informations, c’est la motivation. Le désir d’en savoir plus. Or cette envie peut justement être éveillée à travers les mystères, l’inconnu et la surprise, ce qui pique la curiosité et mène au questionnement. Pourquoi ne peut-on pas dépasser la vitesse de la lumière ? Qu’est-ce qui se passe à la surface du Soleil ? Est-ce qu’on peut nettoyer les débris spatiaux ?

Chaque œuvre devient ainsi l’occasion de vulgariser une foule d’informations à propos de l’espace, de son exploration et des sciences en général, au gré des réactions du public. Le Confluent des Savoirs a donc conçu deux documents pour accompagner les visiteurs : tout d’abord directement, avec un cahier scientifique qui contextualise les aspects scientifiques en lien avec les œuvres. Et indirectement, en fournissant aux médiateurs du Pavillon un roadbook contenant des compléments d’informations, ainsi que des éléments scientifiques divers, pour qu’ils puissent encadrer au mieux les visiteurs.

Certaines œuvres exposées ont été conçues dans le cadre de résidences d’artistes à l’observatoire astronomique Antoine Thomas. Elles ont été – dès le départ – le fruit d’échanges et de dialogues entre arts et sciences, entre artistes et scientifiques. Ces résidences peuvent avoir lieu pour d’autres occasions et thématiques, contactez le Confluent des Savoirs (cds@unamur.be) pour plus d’informations.

Les recherches du Département de mathématique de l’UNamur concernant les courants gravitationnels chaotiques ont notamment trouvé une place de choix parmi les solutions évoquées dans la gestion des débris spatiaux. De quoi s’agit-il ? Il ne vous reste plus qu’à visiter l’exposition pour en savoir plus…

Interdisciplinarité et collaboration

Le cahier scientifique et le roadbook ont été créés par le Confluent des Savoirs, en collaboration avec des scientifiques de l'UNamur : Jérôme Daquin et Anne-Sophie Libert (Département de mathématique), Johan Yans et Max Collinet (Département de géologie), André Füzfa.

Cette initiative s’inscrit également dans le cadre de l’Alliance européenne UNIVERSEH qui entend mettre l’humain au cœur de la matière spatiale. L’UNamur, qui fait partie d’une alliance de 7 universités européennes, joue un rôle important en matière de vulgarisation scientifique et de soutien à la recherche dans le secteur du spatial. 

Actualité

Nuit Blanche à Namur : une réussite pour l’UNamur !

Evénement

Le vendredi 24 mai s’est tenue la première nocturne des lieux culturels namurois : la Nuit Blanche. L’évènement a rassemblé quinze institutions muséales, culturelles, patrimoniales et scientifiques qui ont ouvert leurs portes au public de 18h à minuit.

Visite des collections de physique

A l’Université de Namur, le Confluent des Savoirs, le service de diffusion et de sensibilisation de la recherche, coordonnait cet évènement en vue de valoriser et diffuser auprès du public des collections et un patrimoine parfois méconnu de notre université. En tout, ce sont plus de 300 personnes qui ont pu rencontrer les chercheurs et techniciens des départements de biologie, de physique et de médecine vétérinaire ainsi que la coupole de l’observatoire astronomique Antoine Thomas. 

Le département de biologie présentait ses collections de zoologie constituée dès le milieu du XIXe siècle et progressivement enrichies. Ce sont plus de 2.500 spécimens différents qui constituent aujourd’hui la collection didactique dont la scénographie a été remaniée pour l’occasion. 

L’observatoire astronomique Antoine Thomas ouvrait une nouvelle fois ses portes au public pour une visite de la coupole et la présentation des techniques de l’astrophotographie au travers de l’exposition “Objectif Etoile” réalisée par le Confluent des Savoirs. 

Le département de médecine vétérinaire proposait au public de découvrir sa salle de travaux pratiques et son impressionnante collection de modèles anatomiques et d’ossements ainsi que de mannequins équestres. Les visiteurs ont pu s’exercer à la reconnaissance des ossements en tentant de reproduire des articulations à l’aide de radiographies.

La faculté des Sciences ouvrait les portes de ses quatre salles de travaux pratiques et présentait au public la collection de plus de 200 instruments didactiques des départements de chimie et de physique constituée autour des années 1900 par le Père Courtois. 

Cette soirée fut riche en partage et en découverte et, nous en sommes certains, a mis des étoiles dans les yeux des jeunes et des moins jeunes !

Article

It’s not Rocket Science ! Un “ C’est pas sorcier” made in UNamur

Étudiants
Langues
UNIVERSEH

Pour la deuxième année consécutive, des étudiants du cours d’anglais de bloc 1 ont été initiés à la vulgarisation de concepts scientifiques sous la forme de vidéos dans le cadre du projet "It's not Rocket Science".

It’s not Rocket Science : un projet de vulgarisation scientifique en anglais

Mêler l’apprentissage de l’anglais et de la vulgarisation scientifique, tout en stimulant la créativité et l’amusement des étudiants. Tel est le savant mélange du projet « It’s Not Rocket Science » développé en 2023 par Natassia Schutz et Aude Hansel, deux professeures d’anglais du département des langues vivantes de l’UNamur.

Pour la deuxième année consécutive, des étudiants du cours d’anglais de bloc 1 issus des facs de Sciences, Médecine et Philo et Lettres ont été initiés à la vulgarisation de concepts scientifiques à travers la réalisation de capsules vidéo.

Le principe : les étudiants choisissent un concept ou un phénomène traité dans un de leurs cours et le présentent en binôme dans une capsule vidéo de 3 minutes à destination des élèves du secondaire et du grand public. Les étudiants sont accompagnés, dans la réalisation de leurs vidéos, par l’équipe de professeurs d’anglais et de disciplines, le Confluent des Savoirs service de vulgarisation scientifique de l'UNamur – et par le Service Audio-Visuel de l’UNamur . Les vidéos les plus convaincantes sont sélectionnées pour participer au concours organisé pendant le Printemps des Sciences et lors duquel les élèves du secondaire sont invités à voter pour la meilleure vidéo.

Les objectifs de ce projet sont multiples : (1) pratiquer l’anglais et la transversalité de manière concrète , (2) offrir un aperçu aux élèves du secondaire de ce qui est réalisé à l’université dans le cadre des cours et (3) donner envie aux jeunes d’étudier les sciences, et pourquoi pas à l’UNamur ?

Édition 2024 : en route vers l’espace !

Cette année, ce sont plus de 300 capsules vidéo qui ont été réalisées par les étudiants sur la thématique de l’astronomie. Cette thématique a été sélectionnée suite à l'intégration de l’Université de Namur dans l’alliance européenne "European Space University for Earth and Humanity" : UNIVERSEH. Parmi l’ensemble des vidéos, sept ont été sélectionnées pour le concours organisé pendant le Printemps des Sciences 2024

À la rencontre des professeures à l’origine du projet

C’est confortablement installées dans la salle de réunion du Confluent des Savoirs qu’Aude Hansel (à droite sur la photo) et Natassia Schutz (à gauche sur la photo), professeures d'anglais à l’Ecole des Langues vivantes de l'UNamur, ont répondu à nos questions.

Pourquoi avez-vous décidé de lancer le projet “It’s Not Rocket Science” ?

Afin d’initier nos étudiants à l’anglais scientifique, nous avons eu l’idée de les placer dans une posture de créateurs de contenus vulgarisés. Les étudiants sont amenés à travailler sur des sujets transversaux qui concernent des enjeux d’actualité. Les sujets choisis sont directement en lien avec la discipline dans laquelle ils sont inscrits. Les étudiants appliquent leurs savoirs à travers un cours d’anglais ancré dans leur domaine d’étude, dès le bloc 1.

Un projet ambitieux qui implique de multiples compétences. La gestion d’un tel projet au milieu des autres travaux et des cours, c’est quelque chose que les étudiants de bloc 1 arrivent bien à gérer ?

C'est en effet un projet qui prend du temps, tant pour eux que pour le staff enseignant et encadrant (rires). Mais nous voyons les avantages que nos étudiants peuvent en tirer pour leurs parcours. À un moment de transition secondaire-bachelier, nous les accompagnons dans la gestion de leur méthodologie et de leur temps. Les étudiants apprennent à collaborer, à pratiquer le feedback entre eux et avec les professeurs et au contact d’autres services et collègues de l’UNamur. Ils découvrent ainsi d’autres métiers et compétences, ils apprennent les codes de la vulgarisation, à réaliser un storyboard, à gérer le stress de parler devant une caméra, ... C’est un exercice qui implique de faire appel à des soft skills. Ce projet permet de mobiliser les talents et de développer la créativité, ce qui doit être encouragé. Même si cela demande plus d’investissement, nous sommes convaincues que cette activité valorise le travail de nos étudiants, les invite à se dépasser et à prendre confiance en eux. C’est un projet humain et enrichissant à bien des égards et qui procure beaucoup de satisfaction.

Un projet "made in UNamur" mais qui fait parler de lui ! Vous avez présenté le projet lors de plusieurs rencontres autour de la pédagogie, non ?

En effet ! Le projet a été finaliste de #LUDOVIAEXPRESS2023, un concours organisé par l’Agence wallonne du Numérique, qui vise la promotion du numérique en milieu éducatif. Nous avons également présenté le projet à des congrès et workshop scientifiques à Stockholm et à Londres. Ces évènements ont permis de présenter cette initiative de l’UNamur et d’échanger avec d’autres enseignants de langues en milieu universitaire au sujet d’enjeux éducatifs tels que la transition vers le numérique, ainsi que l’apprentissage de l’anglais scientifique.

Comment voyez-vous les choses pour les années à venir ?

Le projet a pour ambition d’être accessible à un maximum d’étudiants de l’UNamur grâce à la mise en place d’une Unité d'Enseignement Transversale (UET), cours à option ouvert à tous et s’inscrivant dans la promotion de la démarche STEAM et dans les valeurs de l’alliance UNIVERSEH. Les enseignants du secondaire seront aussi amenés à participer davantage au projet. . En effet, ces derniers ont déjà pu bénéficier d’un canevas de cours adapté à leurs élèves afin de pouvoirévaluer les vidéos des étudiants de l’UNamur en classe. Ces classes pilotes sont enthousiasmées par les capsules vidéo réalisées par les étudiants de l’UNamur et en redemandent . Nous croyons fermement en la transversalité pour donner le goût des sciences, l’envie d’apprendre et de pratiquer l’anglais et comptons élargir le public-cible.

Qu’est-ce qui vous inspire le plus dans ce projet ?

À chaque étape du projet, on rêve. On rêve et puis...souvent, ça marche.. On essaie, à chaque étape, d’aller plus loin. On s’implique beaucoup. On se nourrit de la motivation des étudiants. La tâche prend tout son sens pour eux quand on est dans une démarche authentique, dans une mise en situation réelle.

André Füzfa reçoit un prix « coup de cœur » des Trophées Matière Grise

Prix

C’est une belle récompense pour le Professeur André Füzfa, astrophysicien au sein du Département de mathématique et responsable de l’Observatoire astronomique de l’UNamur. Ce 21 novembre, il a reçu le prix coup de cœur des Trophées de Matière Grise, l’émission de vulgarisation scientifique 2024 diffusée par la RTBF. Ces trophées visent à récompenser les scientifiques du pays, qui se mobilisent pour diffuser leur savoir et leurs connaissances au grand public.

André Fuzfa lors de sa remise du prix des Trophées Matière Grise

Avec le Professeur André Füzfa les notions les plus complexes de gravité, d’ondes gravitationnelles, ou encore de relativité deviennent (presque) des jeux d’enfants. Avec ses explications, le voyage interstellaire par exemple devient presqu’aussi simple qu’un trajet en bus !

L’astrophysicien a en effet cette capacité à rendre compréhensibles et attrayantes des recherches scientifiques de pointe, dans le domaine de la cosmologie et de l’astrophysique.  

A travers, ses cartes blanches, ses passages médiatiques, ou encore les visites de l’observatoire qu’il propose au grand public dès le plus jeune âge, il se passionne à expliquer le fonctionnement de notre système solaire et des planètes, mais aussi à attirer l’attention sur les enjeux environnementaux, économiques et scientifiques, liés à l’exploitation du domaine spatial.   

Sa passion du partage des connaissances le pousse même à se lancer dans une voie peu commune pour un scientifique : la science-fiction. André Füzfa est ainsi l’auteur d’un roman de science-fiction éducative intitulé "À l'appel des étoiles". Et son deuxième roman sortira en janvier 2025.  

En remettant ce prix, l’émission « Matière Grise », en partenariat avec Paris Match, tenait à saluer et à reconnaitre l’investissement d’André Füzfa, dans la vulgarisation scientifique.  

« Cette reconnaissance me fait très plaisir. Et je n’m’y attendais pas. Je fais de la vulgarisation scientifique, non pas pour moi, mais pour les autres. Pour la société. Parce que la connaissance et sa diffusion dans toutes les strates, rend notre société plus démocratique, plus durable. Tout cela participe à augmenter l’intelligence collective, et c’est particulièrement utile dans un contexte où les fakenews occupent une place importante ».  

Quand on lui demande quelle est son astuce pour être un bon vulgarisateur, André Füzfa n’hésite pas une seconde. « J’ai gardé un esprit d’enfant et cet émerveillement pour les choses qui m’entourent, dont mon métier de scientifique. Cela me permet d’aborder mon travail et de manière différente. Je m’amuse et je m’enrichis aussi humainement en faisant de la vulgarisation scientifique », confie-t-il.  

Retour en images sur la remise du prix à André Füzfa

©Paris Match

Julie Laloy (Narilis) également mise à l’honneur

Outre ses prix coups de cœur et les prix du public, l’émission Matière grise a aussi salué lors de la cette cérémonie, les chercheurs et médecins qui ont, eux aussi, participé de manière significative à Matière Grise ou à une large diffusion des savoirs scientifiques au cours de ces dernières années. Parmi eux, se trouve Julie Laloy qui mène des recherches dans le domaine de la Pharmacologie au sein de l’institut Narilis. Elle travaille notamment sur l'évaluation de la sécurité des nanomatériaux pour les travailleurs et le grand public et sur la standardisation des procédures pour les nanomatériaux à travers différents projets de recherche nationaux et internationaux.

Actualité

Stellar Scape – une exposition entre arts et sciences

Evénement
Mathématique
Géologie

Ce vendredi 21 juin avait lieu le vernissage de la nouvelle exposition du KIKK au Pavillon : Stellar Scape, qui se tiendra jusqu’en janvier 2025. Elle nous plonge au cœur de l’astronomie et des nouvelles explorations spatiales, à travers le regard d’une vingtaine d’artistes, ingénieurs et chercheurs et chercheuses.

Exposition Stellar Scape

L’art est au cœur des moyens de communication humains, c’est un vecteur d’émerveillement, d’émotions, de surprises et d’interrogations, qui stimule notre imagination. Une des clés pour un apprentissage réussi et une bonne rétention des informations, c’est la motivation. Le désir d’en savoir plus. Or cette envie peut justement être éveillée à travers les mystères, l’inconnu et la surprise, ce qui pique la curiosité et mène au questionnement. Pourquoi ne peut-on pas dépasser la vitesse de la lumière ? Qu’est-ce qui se passe à la surface du Soleil ? Est-ce qu’on peut nettoyer les débris spatiaux ?

Chaque œuvre devient ainsi l’occasion de vulgariser une foule d’informations à propos de l’espace, de son exploration et des sciences en général, au gré des réactions du public. Le Confluent des Savoirs a donc conçu deux documents pour accompagner les visiteurs : tout d’abord directement, avec un cahier scientifique qui contextualise les aspects scientifiques en lien avec les œuvres. Et indirectement, en fournissant aux médiateurs du Pavillon un roadbook contenant des compléments d’informations, ainsi que des éléments scientifiques divers, pour qu’ils puissent encadrer au mieux les visiteurs.

Certaines œuvres exposées ont été conçues dans le cadre de résidences d’artistes à l’observatoire astronomique Antoine Thomas. Elles ont été – dès le départ – le fruit d’échanges et de dialogues entre arts et sciences, entre artistes et scientifiques. Ces résidences peuvent avoir lieu pour d’autres occasions et thématiques, contactez le Confluent des Savoirs (cds@unamur.be) pour plus d’informations.

Les recherches du Département de mathématique de l’UNamur concernant les courants gravitationnels chaotiques ont notamment trouvé une place de choix parmi les solutions évoquées dans la gestion des débris spatiaux. De quoi s’agit-il ? Il ne vous reste plus qu’à visiter l’exposition pour en savoir plus…

Interdisciplinarité et collaboration

Le cahier scientifique et le roadbook ont été créés par le Confluent des Savoirs, en collaboration avec des scientifiques de l'UNamur : Jérôme Daquin et Anne-Sophie Libert (Département de mathématique), Johan Yans et Max Collinet (Département de géologie), André Füzfa.

Cette initiative s’inscrit également dans le cadre de l’Alliance européenne UNIVERSEH qui entend mettre l’humain au cœur de la matière spatiale. L’UNamur, qui fait partie d’une alliance de 7 universités européennes, joue un rôle important en matière de vulgarisation scientifique et de soutien à la recherche dans le secteur du spatial. 

Actualité

Nuit Blanche à Namur : une réussite pour l’UNamur !

Evénement

Le vendredi 24 mai s’est tenue la première nocturne des lieux culturels namurois : la Nuit Blanche. L’évènement a rassemblé quinze institutions muséales, culturelles, patrimoniales et scientifiques qui ont ouvert leurs portes au public de 18h à minuit.

Visite des collections de physique

A l’Université de Namur, le Confluent des Savoirs, le service de diffusion et de sensibilisation de la recherche, coordonnait cet évènement en vue de valoriser et diffuser auprès du public des collections et un patrimoine parfois méconnu de notre université. En tout, ce sont plus de 300 personnes qui ont pu rencontrer les chercheurs et techniciens des départements de biologie, de physique et de médecine vétérinaire ainsi que la coupole de l’observatoire astronomique Antoine Thomas. 

Le département de biologie présentait ses collections de zoologie constituée dès le milieu du XIXe siècle et progressivement enrichies. Ce sont plus de 2.500 spécimens différents qui constituent aujourd’hui la collection didactique dont la scénographie a été remaniée pour l’occasion. 

L’observatoire astronomique Antoine Thomas ouvrait une nouvelle fois ses portes au public pour une visite de la coupole et la présentation des techniques de l’astrophotographie au travers de l’exposition “Objectif Etoile” réalisée par le Confluent des Savoirs. 

Le département de médecine vétérinaire proposait au public de découvrir sa salle de travaux pratiques et son impressionnante collection de modèles anatomiques et d’ossements ainsi que de mannequins équestres. Les visiteurs ont pu s’exercer à la reconnaissance des ossements en tentant de reproduire des articulations à l’aide de radiographies.

La faculté des Sciences ouvrait les portes de ses quatre salles de travaux pratiques et présentait au public la collection de plus de 200 instruments didactiques des départements de chimie et de physique constituée autour des années 1900 par le Père Courtois. 

Cette soirée fut riche en partage et en découverte et, nous en sommes certains, a mis des étoiles dans les yeux des jeunes et des moins jeunes !

Article

It’s not Rocket Science ! Un “ C’est pas sorcier” made in UNamur

Étudiants
Langues
UNIVERSEH

Pour la deuxième année consécutive, des étudiants du cours d’anglais de bloc 1 ont été initiés à la vulgarisation de concepts scientifiques sous la forme de vidéos dans le cadre du projet "It's not Rocket Science".

It’s not Rocket Science : un projet de vulgarisation scientifique en anglais

Mêler l’apprentissage de l’anglais et de la vulgarisation scientifique, tout en stimulant la créativité et l’amusement des étudiants. Tel est le savant mélange du projet « It’s Not Rocket Science » développé en 2023 par Natassia Schutz et Aude Hansel, deux professeures d’anglais du département des langues vivantes de l’UNamur.

Pour la deuxième année consécutive, des étudiants du cours d’anglais de bloc 1 issus des facs de Sciences, Médecine et Philo et Lettres ont été initiés à la vulgarisation de concepts scientifiques à travers la réalisation de capsules vidéo.

Le principe : les étudiants choisissent un concept ou un phénomène traité dans un de leurs cours et le présentent en binôme dans une capsule vidéo de 3 minutes à destination des élèves du secondaire et du grand public. Les étudiants sont accompagnés, dans la réalisation de leurs vidéos, par l’équipe de professeurs d’anglais et de disciplines, le Confluent des Savoirs service de vulgarisation scientifique de l'UNamur – et par le Service Audio-Visuel de l’UNamur . Les vidéos les plus convaincantes sont sélectionnées pour participer au concours organisé pendant le Printemps des Sciences et lors duquel les élèves du secondaire sont invités à voter pour la meilleure vidéo.

Les objectifs de ce projet sont multiples : (1) pratiquer l’anglais et la transversalité de manière concrète , (2) offrir un aperçu aux élèves du secondaire de ce qui est réalisé à l’université dans le cadre des cours et (3) donner envie aux jeunes d’étudier les sciences, et pourquoi pas à l’UNamur ?

Édition 2024 : en route vers l’espace !

Cette année, ce sont plus de 300 capsules vidéo qui ont été réalisées par les étudiants sur la thématique de l’astronomie. Cette thématique a été sélectionnée suite à l'intégration de l’Université de Namur dans l’alliance européenne "European Space University for Earth and Humanity" : UNIVERSEH. Parmi l’ensemble des vidéos, sept ont été sélectionnées pour le concours organisé pendant le Printemps des Sciences 2024

À la rencontre des professeures à l’origine du projet

C’est confortablement installées dans la salle de réunion du Confluent des Savoirs qu’Aude Hansel (à droite sur la photo) et Natassia Schutz (à gauche sur la photo), professeures d'anglais à l’Ecole des Langues vivantes de l'UNamur, ont répondu à nos questions.

Pourquoi avez-vous décidé de lancer le projet “It’s Not Rocket Science” ?

Afin d’initier nos étudiants à l’anglais scientifique, nous avons eu l’idée de les placer dans une posture de créateurs de contenus vulgarisés. Les étudiants sont amenés à travailler sur des sujets transversaux qui concernent des enjeux d’actualité. Les sujets choisis sont directement en lien avec la discipline dans laquelle ils sont inscrits. Les étudiants appliquent leurs savoirs à travers un cours d’anglais ancré dans leur domaine d’étude, dès le bloc 1.

Un projet ambitieux qui implique de multiples compétences. La gestion d’un tel projet au milieu des autres travaux et des cours, c’est quelque chose que les étudiants de bloc 1 arrivent bien à gérer ?

C'est en effet un projet qui prend du temps, tant pour eux que pour le staff enseignant et encadrant (rires). Mais nous voyons les avantages que nos étudiants peuvent en tirer pour leurs parcours. À un moment de transition secondaire-bachelier, nous les accompagnons dans la gestion de leur méthodologie et de leur temps. Les étudiants apprennent à collaborer, à pratiquer le feedback entre eux et avec les professeurs et au contact d’autres services et collègues de l’UNamur. Ils découvrent ainsi d’autres métiers et compétences, ils apprennent les codes de la vulgarisation, à réaliser un storyboard, à gérer le stress de parler devant une caméra, ... C’est un exercice qui implique de faire appel à des soft skills. Ce projet permet de mobiliser les talents et de développer la créativité, ce qui doit être encouragé. Même si cela demande plus d’investissement, nous sommes convaincues que cette activité valorise le travail de nos étudiants, les invite à se dépasser et à prendre confiance en eux. C’est un projet humain et enrichissant à bien des égards et qui procure beaucoup de satisfaction.

Un projet "made in UNamur" mais qui fait parler de lui ! Vous avez présenté le projet lors de plusieurs rencontres autour de la pédagogie, non ?

En effet ! Le projet a été finaliste de #LUDOVIAEXPRESS2023, un concours organisé par l’Agence wallonne du Numérique, qui vise la promotion du numérique en milieu éducatif. Nous avons également présenté le projet à des congrès et workshop scientifiques à Stockholm et à Londres. Ces évènements ont permis de présenter cette initiative de l’UNamur et d’échanger avec d’autres enseignants de langues en milieu universitaire au sujet d’enjeux éducatifs tels que la transition vers le numérique, ainsi que l’apprentissage de l’anglais scientifique.

Comment voyez-vous les choses pour les années à venir ?

Le projet a pour ambition d’être accessible à un maximum d’étudiants de l’UNamur grâce à la mise en place d’une Unité d'Enseignement Transversale (UET), cours à option ouvert à tous et s’inscrivant dans la promotion de la démarche STEAM et dans les valeurs de l’alliance UNIVERSEH. Les enseignants du secondaire seront aussi amenés à participer davantage au projet. . En effet, ces derniers ont déjà pu bénéficier d’un canevas de cours adapté à leurs élèves afin de pouvoirévaluer les vidéos des étudiants de l’UNamur en classe. Ces classes pilotes sont enthousiasmées par les capsules vidéo réalisées par les étudiants de l’UNamur et en redemandent . Nous croyons fermement en la transversalité pour donner le goût des sciences, l’envie d’apprendre et de pratiquer l’anglais et comptons élargir le public-cible.

Qu’est-ce qui vous inspire le plus dans ce projet ?

À chaque étape du projet, on rêve. On rêve et puis...souvent, ça marche.. On essaie, à chaque étape, d’aller plus loin. On s’implique beaucoup. On se nourrit de la motivation des étudiants. La tâche prend tout son sens pour eux quand on est dans une démarche authentique, dans une mise en situation réelle.

Toutes les actualités

Événements

  • 09
  • 11

Mercredis des Savoirs

Atelier

Des ateliers aux thématiques variées de pédagogie active au cours desquels vos enfants vont développer leur sens de l’observation, d’analyse et leur esprit critique à travers des expériences, des jeux scientifiques et des découvertes extraordinaires.   

En pratique 

À qui s’adresse les ateliers ?   

Les ateliers s’adressent aux enfants entre 9 et 12 ans.  

Le nombre d’enfants par atelier est limité à 12 afin de garantir un apprentissage optimal.  

Quelles sont les thématiques des ateliers ?   

Les ateliers permettent aux enfants de découvrir les sciences et les technologies à travers des thématiques variées : la pollution de l’eau, l’astronomie, l’électricité, le cinéma, ou encore l’histoire.   

Quand se déroulent les ateliers ?     

  • Mercredi 9 octobre 2024 - Stellar Scape

  • Mercredi 13 novembre 2024  - Visite de l'observatoire astronomique

  • Mercredi 11 décembre 2024  - Petit musée ambulant de la technologie 

  • Mercredi 15 janvier 2025 - Les abeilles

  • Mercredi 19 février 2025 - Les parfums dans l'histoire

  • Mercredi 26 mars 2025 - Santé de nos rivières : en péril ?

  • Mercredi 16 avril 2025 - Les couleurs  dans l'histoire

  • Mercredi 14 mai 2025 - Oiseaux et chauve-souris

  • Mercredi 11 juin 2025 - L'électricité

A quelle heure se déroulent les ateliers ?

Les ateliers se déroulent de 14h00 à 16h00 avec un accueil dès 13h30 et garderie jusqu'à 16h30. 

Quel est le tarif des ateliers ?     

La participation à l'ensemble des ateliers coûte 65€* par enfant (50€* pour les enfants des membres du personnel de l'UNamur). Ce prix comprend l’encadrement, le matériel et une collation pour chaque mercredi.  

*Tarif dégressif après chaque atelier passé.

Qui organise les ateliers ?      

Les ateliers sont organisés par le Confluent des Savoirs, la cellule de sensibilisation et de diffusion de la recherche de l’UNamur. L’équipe, experte en transmission des savoirs, travaille en collaboration avec les chercheurs de l’université pour proposer des ateliers lors desquels vos enfants se questionnent, réfléchissent et expérimentent tout en s’amusant !  

12

PiDay 2025 : Une matinée pour découvrir le monde fascinant des mathématiques !

Evènement
Evènement
-
Faculté des sciences

PiDay 2025 : Une matinée pour découvrir le monde fascinant des mathématiques !

12
09:00 - 12:00
Faculté des Sciences - Rue Joseph Grafé, 2 - 5000 Namur
S'inscrire à l'événement

À l’occasion du Pi Day, l’UNamur vous propose une matinée d’activités destinées aux élèves du secondaire pour célébrer l’une des constantes mathématiques les plus célèbres au monde.

Pi Day 2025
  • Quand : Mercredi 12 mars 2025 de 9h à 12h
  • Combien : Gratuit
  • Langue : Français
  • Public : 5-6ème secondaire
  • Lieu de RDV : Faculté des Sciences UNamur – Rue Grafé 2, 5000 Namur.

Au programme, des mini-conférences et des ateliers :

  • 8h30-9h00 : Accueil des groupes
  • 9h00-9h40 : Alexandre Mauroy (UNamur) · Un monde sans maths : c’est le PI-ed ou ça fait PI-tié ?

A ton avis, comment serait un monde sans les maths ? Ce serait sans doute un peu moins amusant si tu fais des maths comme on joue au sudoku. Ou ce serait beaucoup plus fun si, au contraire, tu ne les aimes pas trop… Mais en fait, est-ce que les maths se résument à un jeu intellectuel pour certains et une torture de l’esprit pour tous les autres ? Sont-elles vraiment utiles dans la vie réelle ? Nous tenterons de répondre à ces questions et découvrirons ensemble comment les maths se retrouvent dans notre quotidien. Alors, un monde sans maths, c’est le pied ou ça fait pitié ? A toi de décider !

  • 9h40-10h20 : Timoteo Carletti (UNamur) · 𝜋, Connectivité et Réseaux : Un Cercle Sans Fin

On parle de réseaux sociaux, comme Facebook ou TikTok, mais aussi de réseaux de transports, par exemple train, avion, voitures, … Pourquoi utiliser le même mot ? A ton avis, qu’est-ce qu’ils ont en commun ces “réseaux” ? Ensemble nous allons découvrir l’objet mathématique réseau, ses propriétés et son utilisation bien au-delà des cas ci-cités. On verra qu’on peut utiliser un réseau pour analyser une BD ou un roman, ou encore proposer une nouvelle façon d’écrire la musique.

  • 10h20–10h40 : Pause
  • 10h40-11h40 : Trois ateliers en parallèle - chacun de 20 minutes.

1) Des maths pour dessiner

Est-il possible de reproduire n’importe quelle image en un trait continu, sans lever le stylo ? Dans cet atelier, nous utiliserons les maths pour y parvenir avec l’aide d’une imprimante 2-axes.

2) Des maths pour contrôler des robots

Nous allons découvrir ensemble comment agir, grâce aux mathématiques, sur des systèmes complexes tels que des robots (roulants ou volants) afin qu’automatiquement, ils réalisent une tâche donnée.

3) Des maths pour étudier des robots sociaux

Nous allons montrer comment les maths permettent d’étudier le comportement d’un groupe de robots sociaux qui peuvent communiquer entre eux et réaliser une tâche fixée.

 

Cette activité est organisée avec le soutien de la Wallonie Recherche

19

L’eau, un bien commun à préserver

Congrès / Colloque / Conférence
Congrès / Colloque / Conférence

L’eau, un bien commun à préserver

19
19:30 - 21:30
Faculté des Sciences - Rue Joseph Grafé, 2 - 5000 Namur
S'inscrire à l'événement

L’eau est une ressource vitale. C’est dire si elle mérite son surnom d’ “or bleu”. Pourtant, ce patrimoine naturel essentiel à notre existence et nos activités est en situation critique. 

Conférence inaugurale PDS

A quelques jours de la Journée mondiale de l’eau et du Printemps des Sciences 2025, nous vous invitons à une conférence inaugurale sur la thématique de l’eau comme bien commun. Dans une société marquée par les crises et les dérèglements climatiques, réaffirmer la place de l’eau comme “bien commun” pourrait être une voie prometteuse pour mieux préserver ce patrimoine collectif si précieux.

Plusieurs expert·e·s aux profils variés viendront partager leurs perspectives pour éclairer cet enjeu crucial.

Intervenant·e·s :

  • Nicolas Brasero – Coordinateur du Contrat de Rivière Haine ASBL
  • Aurore Degré – Professeure de physique des sols et d’hydrologie et Vice-Doyenne à l’Enseignement de l’ULiège – Gembloux Agro-Bio Tech
  • Patrick Kestemont – Professeur ordinaire de la Faculté des Sciences de l’Université de Namur, Directeur du laboratoire de Physiologie et Toxicologie Environnementale, Institut de Recherche Life, Earth & Environment
  • Laura Rizzerio – Philosophe, Professeure à l’Université de Namur, Directrice du Centre Universitaire Notre-Dame de la Paix et Membre de l’Institut ESPHIN

Modération par Anne-Sophie Bruyndonckx

Le Printemps des Sciences est LE rendez-vous incontournable de la culture scientifique et technologique (STEM) en Wallonie et à Bruxelles. L’édition 2025, qui se déroulera du 24 au 30 mars 2025, a pour thème “Eau-rêka”.

Tous les événements

S'inscrire à la Newsletter

Avec la newsletter du CDS, vous recevrez les dernières actualités du CDS, l’agenda des activités à venir et des contenus vulgarisés exclusifs.  

Aides à la réussite

Avec le soutien de