Quatre chercheurs ont obtenu un mandat d’aspirant permettant de démarrer une recherche doctorale :
- Ludovic DUBOIS et Niccolò PARDINI de la Faculté de philosophie et lettres,
- Jordan ABRAS de la Faculté d'Économie Management Communication sciencesPo (EMCP)
- Noah DEVEAUX de la Faculté des Sciences.
Le succès est aussi au rendez-vous pour les chercheurs postdoctorants dont neuf d’entre eux ont obtenu un mandat de chargé de recherches de 3 ans.
- Audrey LEPRINCE, Ciska DE RUYVER, Dmytro STRILETS et Cinzia TOMASELLI de la Faculté des Sciences
- Nicolas MICHEL, Sébastien VANDENITTE et Manon HOUTART de la Faculté de philosophie et lettres
- Pierre-Yves HUREL et Sebastian RONDEROS de la Faculté d'Économie Management Communication sciencesPo (EMCP).
Par ailleurs, deux nouveaux chercheurs qualifiés rejoignent notre université.
- Marie DELABY au Département de biologie de la faculté des sciences
- Matthieu PIGNOT au Département d’histoire de la Faculté de philosophie et lettres
Trois chercheurs namurois ont également obtenu un financement de l’appel Télévie.
- Marc HENNEQUART pour des recherches visant à mettre en évidence de nouveaux biomarqueurs métaboliques pour une meilleur détection du cancer pancréatique
- Carine MICHIELS pour des recherches sur la résistance des glioblastomes à la radiothérapie combinée à la chimiothérapie
- Anne-Catherine HEUSKIN pour des recherches sur la compréhension de la reprogrammation des cellules immunitaires macrophages dans la formation du microenvironnement tumoral.
Frédéric SILVESTRE (Faculté des sciences, Département de biologie, URBE) a également obtenu un financement pour un projet de collaboration FNRS-FRQ avec l’ULiège et des équipes québécoises de l’Université de Montréal et de l’Université du Québec à Montréal. Ce projet a pour objectifs de mettre au point une nouvelle méthode de détermination de l’âge basée sur des modifications moléculaires (horloge épigénétique) chez les bélugas (Delphinapterus leucas) de l’estuaire du Saint-Laurent au Québec et de comprendre le rôle de l’âge sur l’accumulation de contaminants ainsi que sur leur niveau de stress et leur état de santé. Il permettra de prendre de meilleures décisions afin d'améliorer le rétablissement de cette population en voie de disparition. Dans le cadre de ce projet, deux thèses de doctorats (une à Namur et une à Montréal) sont ouvertes. Les candidats doivent être biologistes (ou diplôme jugé équivalent) avec un intérêt pour les questions de conservation et d'écotoxicologie, et avec de l'expérience en biologie moléculaire (omique) et bioinformatique.
Félicitations à eux !