The Faculty of Economics, Social Sciences and Management is a Faculty that listens to the individual and is open to the world. It offers training in four major disciplines, in day courses or on a staggered timetable, with a strong commitment to student supervision and support. It conducts excellent interdisciplinary scientific research in cutting-edge fields. For tomorrow's experts and decision-makers!

The studies

The Faculty offers high-quality, local training that emphasizes rigor and critical thinking beyond pure knowledge. It strives to make its future experts and decision-makers aware of societal responsibility, interdisciplinarity and the international dimension. The bachelor's, master's and doctoral programs it offers are in four major disciplines:

Eco études

Pedagogy: a strong commitment!

The Faculty of Economics, Social Sciences and Management attaches great importance to the supervision and support of students, whether in daytime classes or on a staggered timetable. Learning by doing, service learning, staggered schedule hybridization, ... Come and discover our pedagogical approach as well as our different schemes.

Eco études
Image
Eco études

The Faculty, also in staggered hours

Do you want to study on a shift schedule? The Faculty offers a range of adapted training courses.

Spotlight

News

Candidate mandates

Eight researchers have been awarded an aspirant mandate to start doctoral research:

  • Ilario AMATO, Dorian HÈNE, Violaine PIENGEON and Camille PONSARD from the Faculty of Science,
  • Hadrien COUSIN from the Faculty of Philosophy and Letters,
  • Aline NARDI from the Faculty of Law
  • Angela LÜLLE and Elena PEREZ VELASCO from the Faculty of Economic, Social and Management Sciences.

The success rate of our doctoral researchers is 30%!

Postdoctoral research fellowships

At postdoctoral researcher level, UNamur is proud to welcome eight new research fellows for a 3-year term (success rate: 30%).

These are

  • Andrea BONVICINI, Damien DETRAUX and Louise THINES from the Faculty of Sciences
  • Hannah DE CORTE, Angela COSSU, Silverio FRANZONI and Mounir HABACHY from the Faculty of Philosophy and Letters
  • Juliette CRESPIN BOUCAUD from the Faculty of Economics and Management Sciences.

In addition, Mr Vincent LIEGEOIS has been promoted to the title of "Maître de recherches".

Télévie call

The Télévie call has enabled Professor Carine MICHIELS to obtain funding to further research aimed at improving the radiotherapeutic approach to inducing systemic anti-tumor immunity after local irradiation.

Logo du Télévie - un coeur rouge

Grants for scientific publications

Let's also mention the receipt of a subsidy for scientific publications (periodicals), one for Benoît CHAMPAGNE and the second for Carolin MAYER.

Congratulations to them!

Cybersecurity: Master students in Management develop three innovative solutions

Students
Management
Pedagogy

A cyber-attack occurs every 39 seconds worldwide. And the commercial losses caused by cybercrime are estimated to exceed 5,000 billion dollars by 2024. At a time when the fight against this type of crime represents a fundamental challenge for society, the Master students in Management were challenged to find innovative solutions to raise awareness of cybersecurity among audiences identified as being vulnerable. It was a realistic and ambitious exercise, as the students had to work for a client: DNS Belgium, which administers the .be, .vlaanderen and .brussels domain names. Organised in the form of a challenge, the exercise was supervised by managers from DNS Belgium, IBM and academics from UNamur. Focus on the three winning projects!

Cybersécurité

C’est dans le cadre du cours de Service Design and Innovation de la professeure Wafa Hammedi, que les étudiants de l’UNamur ont participé à ce hackathon, organisé en partenariat avec IBM et DNS Belgium. « Le thème de cette année portait donc sur la cybersécurité. De févier à mai, les étudiants avaient pour mission de concevoir, développer et tester par groupe de 4 ou 5, une solution innovante, pour répondre aux besoins de leur client à savoir DNS Belgium. Pour nos étudiants, il s’agit d’une réelle opportunité de se confronter au monde de l'entreprise, tant sur le plan pédagogique que personnel. Ils sont amenés à travailler sur un cas d'entreprise réel, en ayant comme client un acteur majeur du secteur et en produisant plusieurs livrables qui sont évalués par un jury professionnel et académique de haut niveau», souligne Wafa Hammedi, Professeure en Sciences économiques.

Particulièrement actif en matière de cybersécurité en Belgique, DNS Belgium investit massivement dans les programmes de sensibilisation et cherche à atteindre encore davantage certains groupes de personnes identifiées comme plus vulnérables face aux dangers des cyberattaques. Il s’agit des jeunes (14-18 ans), des étudiants et des personnes âgées (65 ans et +) .

« En tant que gestionnaires du web en Belgique, nous sommes par dessus tout intéressés par la sécurité des internautes. Nous investissons non seulement dans la protection technique de notre côté, mais également dans la sensibilisation des utilisateurs, particulièrement les plus vulnérables. Toujours à la recherche de nouvelles idées pour les atteindre au mieux, c'était pour nous non seulement un honneur mais aussi un plaisir que de travailler avec les étudiants de l'UNamur sous le mentorat de la professeure Wafa Hammedi, et naturellement avec nos collègues de chez IBM », précise Arnaud Recko, coordonnateur durabilité chez DNS Belgium.

Les étudiants de l’UNamur avaient donc pour mission de développer des projets permettant de mieux protéger, sur le web, ces groupes vulnérables. L’approche devait être globale et devait notamment comprendre une collecte et analyse de données auprès des publics cibles, une étude de marché, et une expérimentation des solutions proposées. Après évaluation par un jury composé d’académiques de l’UNamur et des managers d’IBM et de DNS, voici les trois projets lauréats.

La Première place : Le projet CyberShield

Les étudiants de ce groupe ont proposé comme solution une application qui a pour avantage de réunir tous les aspects de la cybersecurité en un seul endroit. L'application aide ainsi les utilisateurs de manière proactive pour garder une connexion sécurisée, et réactive pour les guider en cas de problème.

« Ce challenge était enrichissant, car c’était notre première réelle intervention dans le milieu professionnel, tout en restant accompagnés », témoigne Alexandre Schiltz. « Cette organisation sous forme de challenge, est également un élément qui nous a poussé à nous surpasser, avec une compétition saine entre les équipes de la classe ».  

La deuxième place : Le projet « NetWise »

Le groupe a imaginé une application de mentoring cherchant à lier de jeunes volontaires connaisseurs sur le sujet de la sécurité en ligne (les mentors donc) et les personnes âgées, afin que les premiers accompagnent ces derniers, à travers diverses activités sur l'application, pour apprendre davantage sur la cybersécurité et développer les bons gestes sur le Net.

« Travailler avec un client qui attend de nous que nous délivrions une solution plausible et sérieuse pour le groupe cible, était l’un des aspects le plus stimulant de cet exercice », témoigne William Thomas. « IBM était aussi à nos côtés pour nous pousser à présenter un projet concret lors de l’évaluation finale ».

La troisième place : Le projet "SecuritEase Calendar"

Le principe de cette solution qui s’adresse à des personnes âgées, est d’ajouter au calendrier utilisé par le consommateur une toute nouvelle fonction : communiquer de façon créative et ludique sur la cybersécurité. Chaque mois, un visuel attractif serait disponible pour les personnes âgées pour en apprendre davantage sur les conseils, les bonnes pratiques ou les différents termes liés à la cybersécurité.

« L'expérience Hackathon peut être résumée en trois mots : rencontres, partage et créativité. Sur le plan professionnel, nous avons considéré l'aspect social du business, apportant une nouvelle vision plus humaine, axée sur des problématiques et les besoins touchant certaines personnes. Cet aspect social est devenu de plus en plus présent lors des rencontres avec nos intervenants, les personnes âgées », explique Maxime Corbisier-Baland. « Ensuite, nous avons eu l'opportunité de rencontrer certains acteurs importants de ce challenge, à savoir des membres de DNS Belgium et IBM, avec qui les échanges ont été enrichissants et motivants, tout en ayant le soutien incomparable de notre professeure ». La leçon qu’il retient de cette expérience ? « La créativité d'une personne peut créer des idées, mais la créativité d'un groupe amène des projets concrets qui se distinguent de tout » !

Le Master en sciences de gestion & ingénieur à l’UNamur

The Faculty of Economics, Social Sciences and Management is 60 years old!

Alumni
Institution

September 1961. A few professors and about fifteen students are entering the Faculty of Economics, Social Sciences and Management at UNamur for the very first time. It was 60 years ago, in the house of Marmol, Rampart of the Virgin. Today, the classrooms are no longer the same, the professors have succeeded one another, the course programs have continued to evolve... but it is always with the same passion that the faculty supports its students.

Vue de la Faculté de sciences économiques, sociales et de gestion

Cette interview a été réalisée pour la rubrique "Le jour où..." du magazine Omalius #26 (septembre 2022)

Entré à l’UNamur en 1961, Tanguy de Biolley fait partie de la première promotion de diplômés de la Faculté des sciences économiques, sociales et de gestion. Soixante ans plus tard, il se confie avec nostalgie et un sourire non dissimulé sur ses années passées à l’UNamur. Interview.

Ce que j’apprécie tout particulièrement à l’UNamur, c’est l’attention portée aux étudiants par le corps professoral, ce besoin de leur offrir ce qu’il y a de mieux.

Tanguy de Biolley

How did you hear about these studies? They did not yet exist...

I came to the UNamur to study law. A few days after I started, I met Father Joset. He had just created the bachelor’s programme in economic and social sciences and was looking for students to follow his courses. I was tempted, so I gave up law and went into economics.

What was it like to start a brand-new course?

It was wonderful! In the first year, we were 14 students, and we were spoiled. We were lucky to have a range of extremely motivated and engaging teachers. The relationship between teachers and students was excellent, which made our training absolutely splendid.

What was the pedagogy used at the time?

Our bachelor’s course programme was quite dense with lectures almost every day from 9am to 5pm. We took courses in mathematics, sociology, statistics, introduction to economics, business law... but we also had courses that were further away from economics, like biology and psychology. It was all quite theoretical. From the first degree onwards, we could choose between three options: analysis, public economics, and business economics. Our teachers were real professionals in the field. They brought practical cases to class, which was a very rich sharing of experience.

Did you do an internship?

Erasmus programmes did not yet exist, but Father Joset was a pioneer. He suggested that we do a semester's internship abroad during our third degree. I then went to the University of Rotterdam for six months to prepare my thesis. This counterbalanced the frustration of the lack of exercises in the first two years. It was a wonderful experience.

What do you remember about the Faculty?

These five years went by very quickly, I had the chance to meet some very inspiring and important people. The Faculty quickly gained a very good reputation, the first graduates had no trouble finding a job. The success of the Faculty has continued to grow year after year, attracting more and more students. What I particularly like about UNamur is the attention paid to the students by the faculty, the need to offer them the best. And when I talk about this with my grandson who finished two years of study at UNamur, I am happy to see that 60 years later he shares the same feeling as I do.

Learning by doing: more active teaching, more support

In September 2019, the Faculty implemented a bold reform of its teaching, called 'Learning by doing'. "Our ambition was to train managers, economists, political scientists and communication professionals in line with a society that increasingly values entrepreneurship, creativity and teamwork. We also wanted to offer a more active learning path with more visible links between activities," explains Alain de Crombrugghe, dean at the time of the reform. "The programme managers observed that, although the courses were complementary, there were very few links between them. They therefore sought to break down the silos to integrate the various subjects and soft skills, i.e. behavioural skills or know-how in a professional environment, more closely into the concrete projects," adds Pietro Zidda, Dean of the Faculty.

In response to these findings, the Faculty has created new programmes that gradually include active teaching methods. From the first year onwards, students carry out teamwork that mobilises disciplinary skills based on four courses, cross-disciplinary skills (e.g. structuring/synthesising/writing texts, document management, bibliographic research) and soft skills such as the ability to collaborate, to provide leadership, to motivate the team, to manage possible conflicts, to share, etc.".

They are coached by professors and assistants on these various skills.

Service Learning and hybridisation: two pedagogical innovations

Attentive to the social commitment of its students, the Faculty has included a Service Learning scheme in its "Learning by doing" reform. Students who wish to do so can obtain credits at the end of their undergraduate studies through active involvement in an association. They are then invited to analyse and present their experience before a jury. This scheme gives them the opportunity to be immersed in the realities of society, but also of the world of work, and to analyse them in the light of certain undergraduate courses. This is another form of active and integrated teaching, demanding but enriching.

Another major reform is the hybridization of the staggered timetable programme in economics and management. Launched in September 2022, this reform was designed by UNamur teachers and educationalists to develop the best pedagogical approaches. Each teacher was invited to reorganize the activities of the same course into distance and face-to-face sequences. 

This leads to the choice of the most adequate methods and tools to transmit a subject and to arouse the attention of the students.

From group work to project management

"Before the reform, we used to give group work, without explaining to students how to work together, manage a free rider or establish good cooperation. Now, we accompany them to teach them how to run a project. We provide supervision for all the teams with a week-by-week programme in block 1 and increasing autonomy afterwards. We went into great detail to ensure that everything was possible and tenable," adds Pietro Zidda. Two rooms were even set up, thanks to a grant from Sowalfin, to offer everyone the best conditions

After three years of reform, the results are positive and encouraging. The dropout rate in the first year has decreased, despite successive confinements. Students are more motivated. Professors and assistants appreciate this new form of collaboration between them.

Alain de Crombrugghe Professor

On 15 October 2022, the Faculty celebrated its anniversary with an event on the theme "The Faculty has talent".

At the age of 60, the Faculty of economic, social and management sciences does not lack in creativity. Its teaching methods are constantly evolving, but its objective remains the same: to support students so that they become responsible actors in their education, their personal development and society.

Winning the war of talents: students challenged by IBM

Pedagogy

How to recruit new young talents? This challenge is that of many companies, but it is now also that of the students of the master in management sciences of the Faculty of economics, social sciences and management of UNamur. IBM, an international company at the forefront of technological development, comes to ask them to find a solution to the problem of the “war for talents”.

Challenge IBM

Chaque année, dans le cadre du cours « Service design and Innovation » enseigné par la professeure Wafa Hammedi, les étudiants du Master en Sciences de gestion & ingénieur de gestion travaillent sur des « business case », en lien avec l’actualité socio-économique de diverses entreprises. Ces dernières les invitent ainsi à réfléchir à des solutions à apporter à diverses problématiques liées au design et innovation des services qu’elles rencontrent dans leur organisation.

Les étudiants ont par exemple déjà dû travailler pour le Port d’Anvers, BeCode, Maasmechelen Village, Technopolis toujours sur des problématiques liées à la conception et au design des expériences clients ou employés, et d’une solution de service complète et intégrée 

Wafa Hammedi

Tout au long du second quadrimestre, les étudiants travaillent ainsi en équipe et peuvent bénéficier de l’expertise et des conseils de divers représentants d’entreprises. Cela fait maintenant dix ans qu’IBM participe à ce programme et se met à la disposition des étudiants du Master de notre université.

« L'une des valeurs fondamentales d'IBM est le dévouement à la réussite de chaque business client. Cela ne signifie pas seulement l'innovation technologique, mais le modèle managérial sous-jacent qui doit également être correct et innovant ! » a souligné Yves Van Seters,  IBM University Relations manager. « C’est pourquoi IBM accorde une attention importante et particulière aux étudiants en management. Chaque année, les étudiants sont mis au défi d'appliquer leurs connaissances théoriques à une « business case » réaliste. La coopération avec l'UNamur est un bel exemple de collaboration à valeur ajoutée win-win pour toutes les parties prenantes concernées ».

Cette année, IBM est une nouvelle fois au cœur de ce programme. En février dernier, cinq managers d’IBM étaient présents à l’UNamur, lors du cours de Wafa Hammedi, pour présenter le nouveau Business Case. L’entreprise a ainsi proposé aux étudiants de travailler sur une problématique qui la touche directement : « La guerre des jeunes talents », dans un contexte où la pénurie de profils dans le domaine des technologies et services est grandissante. Suite à la crise sanitaire, de nombreuses entreprises sont confrontées par ailleurs, à un turnover très élevé et ressentent des difficultés à recruter des talents. Comment attirer de nouveaux jeunes talents pour relever les défis d’IBM ? Comment s’assurer de garder les meilleurs profils au sein de ses équipes ?

Au cours des 3 derniers mois, les étudiants ont réfléchi à la thématique et s’apprêtent désormais à livrer leurs meilleures propositions. Tout au long de ce processus, ils ont été encadrés par leur professeure Wafa Hammedi, mais également par des managers d’IBM qui ont partagé avec eux leur expérience de terrain.

Les projets des étudiants seront présentés, débattus et évalués ce 15 juin 2022, par un jury prestigieux composé notamment des managers d’IBM et des académiques de l’Université de Namur et de l’étranger. Les meilleurs projets seront récompensés par un prix remis par IBM.  « Nous nous réjouissons de cette collaboration fructueuse avec IBM. Elle offre non seulement la possibilité aux étudiants de se confronter aux réalités de terrain, mais aussi elle débouche sur de prestigieuses opportunités pour les étudiants, avec par exemple la possibilité d’effectuer des stages au sein d’IBM ou d’y décrocher un emploi », souligne Prof. Wafa Hammedi.

Une opportunité qui s’est d’ailleurs concrétisée pour Mathilde Draye. Si en février dernier, elle se présentait face aux étudiants comme représentante d’IBM où elle remplit les missions d’Associate Mobile Experience Consultant, elle était pourtant assise à leur place un an plutôt. C’est dans le cadre de ce programme de cours que l’ancienne étudiante de l’UNamur a pu nouer des contacts avec son futur employeur, IBM.

Collaboration UNamur - IBM

Problem Based learning

« Les études universitaires sont souvent perçues comme très théoriques, souvent jugées très spécialisées et surtout peu en rapport direct avec « le monde réel » des affaires. Tout cela constitue bien évidemment une source de stress pour les étudiants qui sont sur le point d’entrer sur le marché de travail. Les entreprises de leur côté, ont aussi des attentes d’avoir des jeunes diplômés opérationnels capables de résoudre efficacement des problèmes complexes. Cette pédagogie (PBL)  a donc pour objectif de rapprocher les deux mondes, offrir aux étudiants une expérience immersive unique où ils doivent mobiliser, intégrer et appliquer leurs connaissances acquises pour résoudre un problème managérial réel d’un client (l’entreprise) avec des délivrables qui seront évalués à la fois par les professionnels et les académiques », conclut Prof. Wafa Hammedi. Cette pédagogie s’inscrit pleinement dans la philosophie du programme « Learning by doing » appliqué en Faculté de sciences économiques.

Un partenariat de dix ans

Depuis 10 ans, la professeure Wafa Hammedi entretient des liens professionnels étroits avec IBM. D’ailleurs en 2013 Wafa Hammedi avait reçu le prestigieux IBM Faculty Award récompensant ses travaux de recherche. L’IBM Faculty Award est un programme international prestigieux. Il récompense des professeurs et chercheurs du monde entier, pour la qualité et l’intérêt de leurs travaux de recherche en lien avec l’industrie et la recherche fondamentale.

Comment les étudiants ont-ils répondu à cette guerre des talents ?

Candidate mandates

Eight researchers have been awarded an aspirant mandate to start doctoral research:

  • Ilario AMATO, Dorian HÈNE, Violaine PIENGEON and Camille PONSARD from the Faculty of Science,
  • Hadrien COUSIN from the Faculty of Philosophy and Letters,
  • Aline NARDI from the Faculty of Law
  • Angela LÜLLE and Elena PEREZ VELASCO from the Faculty of Economic, Social and Management Sciences.

The success rate of our doctoral researchers is 30%!

Postdoctoral research fellowships

At postdoctoral researcher level, UNamur is proud to welcome eight new research fellows for a 3-year term (success rate: 30%).

These are

  • Andrea BONVICINI, Damien DETRAUX and Louise THINES from the Faculty of Sciences
  • Hannah DE CORTE, Angela COSSU, Silverio FRANZONI and Mounir HABACHY from the Faculty of Philosophy and Letters
  • Juliette CRESPIN BOUCAUD from the Faculty of Economics and Management Sciences.

In addition, Mr Vincent LIEGEOIS has been promoted to the title of "Maître de recherches".

Télévie call

The Télévie call has enabled Professor Carine MICHIELS to obtain funding to further research aimed at improving the radiotherapeutic approach to inducing systemic anti-tumor immunity after local irradiation.

Logo du Télévie - un coeur rouge

Grants for scientific publications

Let's also mention the receipt of a subsidy for scientific publications (periodicals), one for Benoît CHAMPAGNE and the second for Carolin MAYER.

Congratulations to them!

Cybersecurity: Master students in Management develop three innovative solutions

Students
Management
Pedagogy

A cyber-attack occurs every 39 seconds worldwide. And the commercial losses caused by cybercrime are estimated to exceed 5,000 billion dollars by 2024. At a time when the fight against this type of crime represents a fundamental challenge for society, the Master students in Management were challenged to find innovative solutions to raise awareness of cybersecurity among audiences identified as being vulnerable. It was a realistic and ambitious exercise, as the students had to work for a client: DNS Belgium, which administers the .be, .vlaanderen and .brussels domain names. Organised in the form of a challenge, the exercise was supervised by managers from DNS Belgium, IBM and academics from UNamur. Focus on the three winning projects!

Cybersécurité

C’est dans le cadre du cours de Service Design and Innovation de la professeure Wafa Hammedi, que les étudiants de l’UNamur ont participé à ce hackathon, organisé en partenariat avec IBM et DNS Belgium. « Le thème de cette année portait donc sur la cybersécurité. De févier à mai, les étudiants avaient pour mission de concevoir, développer et tester par groupe de 4 ou 5, une solution innovante, pour répondre aux besoins de leur client à savoir DNS Belgium. Pour nos étudiants, il s’agit d’une réelle opportunité de se confronter au monde de l'entreprise, tant sur le plan pédagogique que personnel. Ils sont amenés à travailler sur un cas d'entreprise réel, en ayant comme client un acteur majeur du secteur et en produisant plusieurs livrables qui sont évalués par un jury professionnel et académique de haut niveau», souligne Wafa Hammedi, Professeure en Sciences économiques.

Particulièrement actif en matière de cybersécurité en Belgique, DNS Belgium investit massivement dans les programmes de sensibilisation et cherche à atteindre encore davantage certains groupes de personnes identifiées comme plus vulnérables face aux dangers des cyberattaques. Il s’agit des jeunes (14-18 ans), des étudiants et des personnes âgées (65 ans et +) .

« En tant que gestionnaires du web en Belgique, nous sommes par dessus tout intéressés par la sécurité des internautes. Nous investissons non seulement dans la protection technique de notre côté, mais également dans la sensibilisation des utilisateurs, particulièrement les plus vulnérables. Toujours à la recherche de nouvelles idées pour les atteindre au mieux, c'était pour nous non seulement un honneur mais aussi un plaisir que de travailler avec les étudiants de l'UNamur sous le mentorat de la professeure Wafa Hammedi, et naturellement avec nos collègues de chez IBM », précise Arnaud Recko, coordonnateur durabilité chez DNS Belgium.

Les étudiants de l’UNamur avaient donc pour mission de développer des projets permettant de mieux protéger, sur le web, ces groupes vulnérables. L’approche devait être globale et devait notamment comprendre une collecte et analyse de données auprès des publics cibles, une étude de marché, et une expérimentation des solutions proposées. Après évaluation par un jury composé d’académiques de l’UNamur et des managers d’IBM et de DNS, voici les trois projets lauréats.

La Première place : Le projet CyberShield

Les étudiants de ce groupe ont proposé comme solution une application qui a pour avantage de réunir tous les aspects de la cybersecurité en un seul endroit. L'application aide ainsi les utilisateurs de manière proactive pour garder une connexion sécurisée, et réactive pour les guider en cas de problème.

« Ce challenge était enrichissant, car c’était notre première réelle intervention dans le milieu professionnel, tout en restant accompagnés », témoigne Alexandre Schiltz. « Cette organisation sous forme de challenge, est également un élément qui nous a poussé à nous surpasser, avec une compétition saine entre les équipes de la classe ».  

La deuxième place : Le projet « NetWise »

Le groupe a imaginé une application de mentoring cherchant à lier de jeunes volontaires connaisseurs sur le sujet de la sécurité en ligne (les mentors donc) et les personnes âgées, afin que les premiers accompagnent ces derniers, à travers diverses activités sur l'application, pour apprendre davantage sur la cybersécurité et développer les bons gestes sur le Net.

« Travailler avec un client qui attend de nous que nous délivrions une solution plausible et sérieuse pour le groupe cible, était l’un des aspects le plus stimulant de cet exercice », témoigne William Thomas. « IBM était aussi à nos côtés pour nous pousser à présenter un projet concret lors de l’évaluation finale ».

La troisième place : Le projet "SecuritEase Calendar"

Le principe de cette solution qui s’adresse à des personnes âgées, est d’ajouter au calendrier utilisé par le consommateur une toute nouvelle fonction : communiquer de façon créative et ludique sur la cybersécurité. Chaque mois, un visuel attractif serait disponible pour les personnes âgées pour en apprendre davantage sur les conseils, les bonnes pratiques ou les différents termes liés à la cybersécurité.

« L'expérience Hackathon peut être résumée en trois mots : rencontres, partage et créativité. Sur le plan professionnel, nous avons considéré l'aspect social du business, apportant une nouvelle vision plus humaine, axée sur des problématiques et les besoins touchant certaines personnes. Cet aspect social est devenu de plus en plus présent lors des rencontres avec nos intervenants, les personnes âgées », explique Maxime Corbisier-Baland. « Ensuite, nous avons eu l'opportunité de rencontrer certains acteurs importants de ce challenge, à savoir des membres de DNS Belgium et IBM, avec qui les échanges ont été enrichissants et motivants, tout en ayant le soutien incomparable de notre professeure ». La leçon qu’il retient de cette expérience ? « La créativité d'une personne peut créer des idées, mais la créativité d'un groupe amène des projets concrets qui se distinguent de tout » !

Le Master en sciences de gestion & ingénieur à l’UNamur

The Faculty of Economics, Social Sciences and Management is 60 years old!

Alumni
Institution

September 1961. A few professors and about fifteen students are entering the Faculty of Economics, Social Sciences and Management at UNamur for the very first time. It was 60 years ago, in the house of Marmol, Rampart of the Virgin. Today, the classrooms are no longer the same, the professors have succeeded one another, the course programs have continued to evolve... but it is always with the same passion that the faculty supports its students.

Vue de la Faculté de sciences économiques, sociales et de gestion

Cette interview a été réalisée pour la rubrique "Le jour où..." du magazine Omalius #26 (septembre 2022)

Entré à l’UNamur en 1961, Tanguy de Biolley fait partie de la première promotion de diplômés de la Faculté des sciences économiques, sociales et de gestion. Soixante ans plus tard, il se confie avec nostalgie et un sourire non dissimulé sur ses années passées à l’UNamur. Interview.

Ce que j’apprécie tout particulièrement à l’UNamur, c’est l’attention portée aux étudiants par le corps professoral, ce besoin de leur offrir ce qu’il y a de mieux.

Tanguy de Biolley

How did you hear about these studies? They did not yet exist...

I came to the UNamur to study law. A few days after I started, I met Father Joset. He had just created the bachelor’s programme in economic and social sciences and was looking for students to follow his courses. I was tempted, so I gave up law and went into economics.

What was it like to start a brand-new course?

It was wonderful! In the first year, we were 14 students, and we were spoiled. We were lucky to have a range of extremely motivated and engaging teachers. The relationship between teachers and students was excellent, which made our training absolutely splendid.

What was the pedagogy used at the time?

Our bachelor’s course programme was quite dense with lectures almost every day from 9am to 5pm. We took courses in mathematics, sociology, statistics, introduction to economics, business law... but we also had courses that were further away from economics, like biology and psychology. It was all quite theoretical. From the first degree onwards, we could choose between three options: analysis, public economics, and business economics. Our teachers were real professionals in the field. They brought practical cases to class, which was a very rich sharing of experience.

Did you do an internship?

Erasmus programmes did not yet exist, but Father Joset was a pioneer. He suggested that we do a semester's internship abroad during our third degree. I then went to the University of Rotterdam for six months to prepare my thesis. This counterbalanced the frustration of the lack of exercises in the first two years. It was a wonderful experience.

What do you remember about the Faculty?

These five years went by very quickly, I had the chance to meet some very inspiring and important people. The Faculty quickly gained a very good reputation, the first graduates had no trouble finding a job. The success of the Faculty has continued to grow year after year, attracting more and more students. What I particularly like about UNamur is the attention paid to the students by the faculty, the need to offer them the best. And when I talk about this with my grandson who finished two years of study at UNamur, I am happy to see that 60 years later he shares the same feeling as I do.

Learning by doing: more active teaching, more support

In September 2019, the Faculty implemented a bold reform of its teaching, called 'Learning by doing'. "Our ambition was to train managers, economists, political scientists and communication professionals in line with a society that increasingly values entrepreneurship, creativity and teamwork. We also wanted to offer a more active learning path with more visible links between activities," explains Alain de Crombrugghe, dean at the time of the reform. "The programme managers observed that, although the courses were complementary, there were very few links between them. They therefore sought to break down the silos to integrate the various subjects and soft skills, i.e. behavioural skills or know-how in a professional environment, more closely into the concrete projects," adds Pietro Zidda, Dean of the Faculty.

In response to these findings, the Faculty has created new programmes that gradually include active teaching methods. From the first year onwards, students carry out teamwork that mobilises disciplinary skills based on four courses, cross-disciplinary skills (e.g. structuring/synthesising/writing texts, document management, bibliographic research) and soft skills such as the ability to collaborate, to provide leadership, to motivate the team, to manage possible conflicts, to share, etc.".

They are coached by professors and assistants on these various skills.

Service Learning and hybridisation: two pedagogical innovations

Attentive to the social commitment of its students, the Faculty has included a Service Learning scheme in its "Learning by doing" reform. Students who wish to do so can obtain credits at the end of their undergraduate studies through active involvement in an association. They are then invited to analyse and present their experience before a jury. This scheme gives them the opportunity to be immersed in the realities of society, but also of the world of work, and to analyse them in the light of certain undergraduate courses. This is another form of active and integrated teaching, demanding but enriching.

Another major reform is the hybridization of the staggered timetable programme in economics and management. Launched in September 2022, this reform was designed by UNamur teachers and educationalists to develop the best pedagogical approaches. Each teacher was invited to reorganize the activities of the same course into distance and face-to-face sequences. 

This leads to the choice of the most adequate methods and tools to transmit a subject and to arouse the attention of the students.

From group work to project management

"Before the reform, we used to give group work, without explaining to students how to work together, manage a free rider or establish good cooperation. Now, we accompany them to teach them how to run a project. We provide supervision for all the teams with a week-by-week programme in block 1 and increasing autonomy afterwards. We went into great detail to ensure that everything was possible and tenable," adds Pietro Zidda. Two rooms were even set up, thanks to a grant from Sowalfin, to offer everyone the best conditions

After three years of reform, the results are positive and encouraging. The dropout rate in the first year has decreased, despite successive confinements. Students are more motivated. Professors and assistants appreciate this new form of collaboration between them.

Alain de Crombrugghe Professor

On 15 October 2022, the Faculty celebrated its anniversary with an event on the theme "The Faculty has talent".

At the age of 60, the Faculty of economic, social and management sciences does not lack in creativity. Its teaching methods are constantly evolving, but its objective remains the same: to support students so that they become responsible actors in their education, their personal development and society.

Winning the war of talents: students challenged by IBM

Pedagogy

How to recruit new young talents? This challenge is that of many companies, but it is now also that of the students of the master in management sciences of the Faculty of economics, social sciences and management of UNamur. IBM, an international company at the forefront of technological development, comes to ask them to find a solution to the problem of the “war for talents”.

Challenge IBM

Chaque année, dans le cadre du cours « Service design and Innovation » enseigné par la professeure Wafa Hammedi, les étudiants du Master en Sciences de gestion & ingénieur de gestion travaillent sur des « business case », en lien avec l’actualité socio-économique de diverses entreprises. Ces dernières les invitent ainsi à réfléchir à des solutions à apporter à diverses problématiques liées au design et innovation des services qu’elles rencontrent dans leur organisation.

Les étudiants ont par exemple déjà dû travailler pour le Port d’Anvers, BeCode, Maasmechelen Village, Technopolis toujours sur des problématiques liées à la conception et au design des expériences clients ou employés, et d’une solution de service complète et intégrée 

Wafa Hammedi

Tout au long du second quadrimestre, les étudiants travaillent ainsi en équipe et peuvent bénéficier de l’expertise et des conseils de divers représentants d’entreprises. Cela fait maintenant dix ans qu’IBM participe à ce programme et se met à la disposition des étudiants du Master de notre université.

« L'une des valeurs fondamentales d'IBM est le dévouement à la réussite de chaque business client. Cela ne signifie pas seulement l'innovation technologique, mais le modèle managérial sous-jacent qui doit également être correct et innovant ! » a souligné Yves Van Seters,  IBM University Relations manager. « C’est pourquoi IBM accorde une attention importante et particulière aux étudiants en management. Chaque année, les étudiants sont mis au défi d'appliquer leurs connaissances théoriques à une « business case » réaliste. La coopération avec l'UNamur est un bel exemple de collaboration à valeur ajoutée win-win pour toutes les parties prenantes concernées ».

Cette année, IBM est une nouvelle fois au cœur de ce programme. En février dernier, cinq managers d’IBM étaient présents à l’UNamur, lors du cours de Wafa Hammedi, pour présenter le nouveau Business Case. L’entreprise a ainsi proposé aux étudiants de travailler sur une problématique qui la touche directement : « La guerre des jeunes talents », dans un contexte où la pénurie de profils dans le domaine des technologies et services est grandissante. Suite à la crise sanitaire, de nombreuses entreprises sont confrontées par ailleurs, à un turnover très élevé et ressentent des difficultés à recruter des talents. Comment attirer de nouveaux jeunes talents pour relever les défis d’IBM ? Comment s’assurer de garder les meilleurs profils au sein de ses équipes ?

Au cours des 3 derniers mois, les étudiants ont réfléchi à la thématique et s’apprêtent désormais à livrer leurs meilleures propositions. Tout au long de ce processus, ils ont été encadrés par leur professeure Wafa Hammedi, mais également par des managers d’IBM qui ont partagé avec eux leur expérience de terrain.

Les projets des étudiants seront présentés, débattus et évalués ce 15 juin 2022, par un jury prestigieux composé notamment des managers d’IBM et des académiques de l’Université de Namur et de l’étranger. Les meilleurs projets seront récompensés par un prix remis par IBM.  « Nous nous réjouissons de cette collaboration fructueuse avec IBM. Elle offre non seulement la possibilité aux étudiants de se confronter aux réalités de terrain, mais aussi elle débouche sur de prestigieuses opportunités pour les étudiants, avec par exemple la possibilité d’effectuer des stages au sein d’IBM ou d’y décrocher un emploi », souligne Prof. Wafa Hammedi.

Une opportunité qui s’est d’ailleurs concrétisée pour Mathilde Draye. Si en février dernier, elle se présentait face aux étudiants comme représentante d’IBM où elle remplit les missions d’Associate Mobile Experience Consultant, elle était pourtant assise à leur place un an plutôt. C’est dans le cadre de ce programme de cours que l’ancienne étudiante de l’UNamur a pu nouer des contacts avec son futur employeur, IBM.

Collaboration UNamur - IBM

Problem Based learning

« Les études universitaires sont souvent perçues comme très théoriques, souvent jugées très spécialisées et surtout peu en rapport direct avec « le monde réel » des affaires. Tout cela constitue bien évidemment une source de stress pour les étudiants qui sont sur le point d’entrer sur le marché de travail. Les entreprises de leur côté, ont aussi des attentes d’avoir des jeunes diplômés opérationnels capables de résoudre efficacement des problèmes complexes. Cette pédagogie (PBL)  a donc pour objectif de rapprocher les deux mondes, offrir aux étudiants une expérience immersive unique où ils doivent mobiliser, intégrer et appliquer leurs connaissances acquises pour résoudre un problème managérial réel d’un client (l’entreprise) avec des délivrables qui seront évalués à la fois par les professionnels et les académiques », conclut Prof. Wafa Hammedi. Cette pédagogie s’inscrit pleinement dans la philosophie du programme « Learning by doing » appliqué en Faculté de sciences économiques.

Un partenariat de dix ans

Depuis 10 ans, la professeure Wafa Hammedi entretient des liens professionnels étroits avec IBM. D’ailleurs en 2013 Wafa Hammedi avait reçu le prestigieux IBM Faculty Award récompensant ses travaux de recherche. L’IBM Faculty Award est un programme international prestigieux. Il récompense des professeurs et chercheurs du monde entier, pour la qualité et l’intérêt de leurs travaux de recherche en lien avec l’industrie et la recherche fondamentale.

Comment les étudiants ont-ils répondu à cette guerre des talents ?

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