Philosophie de la vie quotidienne

Notre système de valeur est le cadre qui donne sens à notre vie.

Ce système a évolué et se centre aujourd’hui sur l’épanouissement de soi.

Mais comment s’épanouir et à quel prix ?

L’éthique est au centre des grandes préoccupations d’aujourd’hui. Peut-on travailler au noir ?  Faut-il donner un enfant à une femme ménopausée ? (bioéthique,…) 

Ces questions demandent une solide réflexion. Chaque spectateur est amené à se situer personnellement et à rechercher les implications de ses choix pour sa vie.

Pourquoi en parler ? Pour les uns, la sexualité ne vaut pas la peine qu’on en parle tant. Pour les autres, la libération sexuelle a eu lieu…

Et si la sexualité en valait la peine et que la libération ne soit pas achevée ?  N’allons pas nous tromper d’histoire d’amour !  Il serait dommage de passer à côté d’une réalité si centrale.

Thème universel à analyser : tant les ignorances et les stéréotypes du passé que les ambivalences et les difficultés d’aujourd’hui. Tout nous sépare et pourtant nous sommes faits les uns pour les autres. 

Des pistes envisagées : l’écoute et l’accueil de la différence, la communication…

Le couple a-t-il un avenir ?

Il est peut-être à réinventer. 

Les évolutions du couple et de la famille sont analysées. Des pistes nouvelles sont suggérées pour démêler le positif et le négatif.

Qu’est-ce que ça veut dire ?

Deux perspectives sont envisagées : chacun est responsable de ses actes, de leur valeur, de leurs conséquences ; chacun est responsable aussi partiellement pour l’autre parce qu’il est là et faible.

Mais la responsabilité fait peur aujourd’hui. Comment en retrouver le sens ?

Ce qui paraissait simple auparavant est aujourd’hui devenu non évident : toutes les étapes du processus font question. 

Faut-il avoir des enfants dans le monde tel qu’il est ?  Avons-nous un désir d’enfant ? Quand voulons-nous cet enfant ? Quel est notre projet pour cet enfant ?

Nous sommes dans une civilisation du troisième âge. 

Or l’image de la vieillesse est encore souvent négative. 

Il faut sans doute changer l’image du vieillissement et se préparer à une autre vieillesse, active et épanouissante.

En pensée, en paroles et en actes, nous nions la mort.  Nous faisons comme si elle n’existait pas, comme si nous ne devions jamais mourir.

Et si intégrer la mort dans la vie était possible ?
Voire indispensable ?

Qu’est-ce qui fait le bonheur ?

Est-ce avoir tout ce qu’on veut ?  Mon bonheur est-il lié à celui d’autrui ?  Le bonheur est-il possible ? 

On verra que le bonheur est dans l’être et non dans l’avoir, avec autrui et non contre lui.