Le laboratoire BL3 de l’Université de Namur est une infrastructure de haute sécurité biologique dédiée à la recherche sur des micro-organismes pathogènes de classe 3. Cette plateforme technologique permet aux chercheurs de manipuler ces agents dans des conditions optimales de confinement, conformément aux normes les plus strictes en matière de biosécurité.
Description
Conçu pour répondre aux exigences réglementaires du Gouvernement de la Région wallonne (AM du 04 juillet 2002), le BL3 offre un environnement sécurisé pour l’étude de bactéries pathogènes pour l’humain.

Caractéristiques principales
- Surface totale : 120 m² confinés
- Sécurité renforcée :
- système avancé de filtration
- double sas de dépression pour empêcher toute fuite de micro-organismes
- Espaces dédiés :
- 3 salles d’isolement
- un local pour l’hébergement des animaux
- une zone commune de préparation et de service
- Capacité d’accueil : jusqu’à 10 chercheurs simultanément
Normes et procédures
Avant toute intervention, les chercheurs suivent une formation complète sur la manipulation sécurisée des installations. Chaque protocole expérimental est validé afin de garantir une sécurité maximale pour toutes les expériences.
Équipements
Équipements principaux
- 2 microscopes à fluorescence (microscope à épifluorescence et microscope inversé avec système microfluidique, chacun équipé d'un appareil photo numérique)
- 1 congélateur à -80 °C et 3 hottes de sécurité biologique
- incubateurs (avec ou sans CO2)
- 1 bioscreen
Autres caractéristiques
- tous les matériaux (cloisons, sols, mobilier...) sont non poreux et résistants aux produits chimiques, ce qui rend le nettoyage et la décontamination efficaces ;
- le laboratoire est maintenu en dépression constante afin d'éviter toute fuite vers l'extérieur ;
- l'air entrant et sortant est constamment filtré ;
- les organismes sont manipulés dans un environnement microbiologique de classe de sécurité II ;
- l'alimentation électrique est autonome en cas de panne de courant ;
- systèmes de contrôle d'accès et de verrouillage pour les 2 sas ;
- les déchets sont gérés et traités, notamment grâce à un autoclave à double entrée.
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Une publication prestigieuse pour une équipe de recherche internationale en microbiologie
Une publication prestigieuse pour une équipe de recherche internationale en microbiologie
L'équipe du professeur Xavier De Bolle vient de publier dans la prestigieuse revue EMBO Journal du groupe Springer Nature. Sa découverte ? Un canal de transport à lipides au travers de la membrane cellulaire de Brucella, cette bactérie responsable de la Brucellose chez les bovins. Cette trouvaille pourrait être exploitée notamment pour générer des souches atténuées de la bactérie, processus utilisé dans la fabrication des vaccins.

L’étude de la bactérie Brucella est l’un des domaines de la microbiologie dans laquelle les équipes de chercheurs de l’UNamur se sont spécialisées depuis plus de vingt ans. Cette bactérie pathogène qui infecte le bétail est à l’origine de la Brucellose, une maladie transmissible à l’homme par la consommation de produits laitiers non pasteurisés, par contact avec des tissus animaux infectés ou encore par inhalation. Elle figure parmi les zoonoses les plus répandues au monde.
Un catalogue de faiblesses
Au fil de ces années de recherche, l’équipe du professeur Xavier De Bolle, Professeur au Département de biologie, membre de l'Unité de Recherche en Biologie des Microorganismes (URBM) de l’Université de Namur et investigateur au sein du WEL Research Institute, a pu établir une sorte de « catalogue » des faiblesses de Brucella.
Des bactéries, il en existe des millions d’espèces. Impossible donc de les étudier au cas par cas. Mais elles ont des comportements et des fonctionnements similaires et c’est pourquoi une bactérie spécifique est considérée comme le modèle : il s’agit d’Escherichia coli, une bactérie intestinale des organismes à sang chaud. Découverte en 1885, elle a fait l’objet de nombreuses études et est donc devenue une référence dans la littérature scientifique.
Une bactérie comme E. coli ou Brucella, c’est comme un oignon avec seulement deux couches (les membranes interne et externe) et un élément central (le cytoplasme) dans lequel l’organisme fabrique tout ce dont il a besoin. Il exporte aussi des éléments vers l’extérieur, notamment des lipides. Mais ces processus sont encore très méconnus, même chez E. coli. Ils constituent cependant une brèche intéressante à exploiter pour atteindre le cœur de bactéries pathogènes.
Les mutants ouvrent la voie
Au cours de cette recherche, qui combinait bactériologie et génétique, les chercheurs ont développé une technologie qui permet de provoquer des mutations de la bactérie Brucella mais aussi de savoir où ces mutations se situent. Ils ont réussi à fabriquer un mutant qui leur a montré la voie vers un véritable « tunnel à lipides », un passage entre les membranes interne et externe de la bactérie.

Cela donne des renseignements précieux sur une nouvelle faiblesse du pathogène et donc, fournit des informations pour mieux le combattre.

Notre recherche, financée par le FNRS et le WEL Research Institute, est fondamentale. Bien sûr, nous sommes très en amont du stade du développement de processus appliqués. Mais nous faisons ici un pas de plus pour percer les secrets de l’armure de Brucella pour, un jour, pouvoir espérer contrôler la maladie grâce à un vaccin efficace.
Une équipe de recherche internationale
- Adélie Lannoy (maintenant en post-doc à Toulouse) et Xavier De Bolle – UNamur, URBM – Belgique
- Marc Dieu et Patsy Renard - UNamur, URBC - Belgique
- Antonia García Fernández - Centro de Metabolómica y Bioanálisis (CEMBIO), Facultad de Farmacia, Universidad San Pablo-CEU – Espagne
- Raquel Condez-Alvarez - Department of Microbiology and Parasitology, Instituto de Investigación Sanitaria de Navarra (IdiSNA), University of Navarra – Espagne
Les chercheurs remercient le FNRS et le WEL Research Institute pour le soutien dans cette recherche. Ils remercient aussi la plateforme « Spectrométrie de masse – MaSUN » et la plateforme technologie « Laboratoire de biosécurité niveau 3 – BL3 » de l’UNamur pour leurs équipements de pointe et leur expertise.
Xavier De Bolle - Mini CV
Xavier De Bolle a présenté son doctorat à l'UNamur (FUNDP à l'époque) en 1995. Après 4 années de post-doc, dont une à l'université d'Oxford, il rejoint l'URBM (Biologie, Sciences), où il anime un groupe de recherche. Il a encadré 25 thèses de doctorat (dont 4 en cours) et certain.e.s de ses ancien.ne.s thésard.e.s ont généré leur propre équipe de recherche (à l'UNamur, l'UCLouvain, la VUB).
Le Professeur Xavier De Bolle est membre de l’URBM au Département de biologie de la Faculté des sciences de l’Université de Namur. Il est membre de l’Institut de recherche en sciences de la vie « Namur Research Institute for Life Sciences – Narilis ».
Depuis juin 2024, il est également Investigateur du WEL Research Institute pour le programme Welbio-Health dans la thématique « Microbiologie et maladies infectieuses ».
Ce travail illustre l’expertise de pointe développée à l’UNamur en matière de microbiologie moléculaire, domaine dans lequel l’UNamur a décidé de s’investir en organisant depuis septembre 2019, un Master en microbiologie moléculaire. Il s’agit d’un master unique en Europe, entièrement dispensé en anglais, et ancré dans la recherche.
En savoir plus sur le sujet
- De nouveaux indices pour percer l’armure de Brucella (27/02/2023) - https://unamur.be/fr/newsroom/de-nouveaux-indices-pour-percer-larmure-de-brucella
- Alison Forrester et Xavier De Bolle, lauréats du dernier appel à projets FRFS-Welbio (23/07/2024) - https://unamur.be/fr/newsroom/laureats-dernier-appel-projets-frfs-welbio

De nouveaux indices pour percer l’armure de Brucella
De nouveaux indices pour percer l’armure de Brucella
Une équipe de chercheurs en microbiologie de l’UNamur vient de publier dans la revue Nature Communications. Le travail porte sur la bactérie Brucella à l’origine de la Brucellose, une maladie qui infecte le bétail et peut se transmettre à l’homme. Cette recherche vise à mieux comprendre les mécanismes moléculaires de croissance de la bactérie afin de mieux la combattre. Explications.

L’étude de la bactérie Brucella est l’un des domaines de la microbiologie dans laquelle les équipes de chercheurs de l’UNamur se sont spécialisées depuis plus de vingt ans. Cette bactérie qui infecte le bétail est à l’origine de la Brucellose, une maladie transmissible à l’homme par la consommation de produits laitiers non pasteurisés, par contact avec des tissus animaux infectés ou encore par inhalation. Elle figure parmi les zoonoses les plus répandues au monde.
Au fil de ces années de recherche, l’équipe, dirigée par le professeur Xavier De Bolle, a pu établir une sorte de « catalogue » des faiblesses de Brucella. Ils ont pu mettre en évidence comment la bactérie construit son enveloppe externe, qui est son armure pour résister aux conditions extérieures. Dans ce contexte, il était également important de comprendre comment elle s’y prend pour faire grandir cette armure… sans la percer ! Le travail qui vient d’être publié montre où et comment Brucella achemine certains composants de son enveloppe vers l’extérieur. De plus, il identifie une nouvelle classe d’enzyme, une machine moléculaire complexe qui requise pour la construction d’une armure complète, et donc cruciale pour la capacité de Brucella à infecter ses hôtes.
« Grâce au travail de toute l’équipe, nous avons compris comment rendre la vie dure à Brucella. » explique le professeur Xavier De Bolle, de l’Unité de Recherche en Biologie des Microorganismes (URBM) de l’UNamur. « Notre recherche, financée par le FNRS, est fondamentale. Nous en sommes au stade qui précède le développement de processus appliqués. Mais la mise en pratique de nos découvertes pourrait à l’avenir permettre de construire un procédé biochimique qui obligerait Brucella à fabriquer une armure moins solide, voire l’empêcherait de la fabriquer tout court.
Nous avons pu bénéficier de l’appui des chimistes organiciens de l’UNamur, et notamment de l’équipe du professeur Stéphane Vincent, qui étudie également ces éléments de la paroi des bactéries. Une belle collaboration au sein de l’Institut NARILIS ».
Ces découvertes viennent d’être publiées dans la prestigieuse revue scientifique Nature Communications. Elles illustrent l’expertise de pointe développée à l’UNamur en matière de microbiologie moléculaire. Domaine dans lequel l’UNamur a décidé de s’investir encore davantage en organisant depuis septembre 2019, un Master en microbiologie moléculaire. Pour rappel, il s’agit d’un master unique en Europe, entièrement dispensé en anglais, ancré dans la recherche.
En savoir plus sur le Master en microbiologie moléculaire

Une publication prestigieuse pour une équipe de recherche internationale en microbiologie
Une publication prestigieuse pour une équipe de recherche internationale en microbiologie
L'équipe du professeur Xavier De Bolle vient de publier dans la prestigieuse revue EMBO Journal du groupe Springer Nature. Sa découverte ? Un canal de transport à lipides au travers de la membrane cellulaire de Brucella, cette bactérie responsable de la Brucellose chez les bovins. Cette trouvaille pourrait être exploitée notamment pour générer des souches atténuées de la bactérie, processus utilisé dans la fabrication des vaccins.

L’étude de la bactérie Brucella est l’un des domaines de la microbiologie dans laquelle les équipes de chercheurs de l’UNamur se sont spécialisées depuis plus de vingt ans. Cette bactérie pathogène qui infecte le bétail est à l’origine de la Brucellose, une maladie transmissible à l’homme par la consommation de produits laitiers non pasteurisés, par contact avec des tissus animaux infectés ou encore par inhalation. Elle figure parmi les zoonoses les plus répandues au monde.
Un catalogue de faiblesses
Au fil de ces années de recherche, l’équipe du professeur Xavier De Bolle, Professeur au Département de biologie, membre de l'Unité de Recherche en Biologie des Microorganismes (URBM) de l’Université de Namur et investigateur au sein du WEL Research Institute, a pu établir une sorte de « catalogue » des faiblesses de Brucella.
Des bactéries, il en existe des millions d’espèces. Impossible donc de les étudier au cas par cas. Mais elles ont des comportements et des fonctionnements similaires et c’est pourquoi une bactérie spécifique est considérée comme le modèle : il s’agit d’Escherichia coli, une bactérie intestinale des organismes à sang chaud. Découverte en 1885, elle a fait l’objet de nombreuses études et est donc devenue une référence dans la littérature scientifique.
Une bactérie comme E. coli ou Brucella, c’est comme un oignon avec seulement deux couches (les membranes interne et externe) et un élément central (le cytoplasme) dans lequel l’organisme fabrique tout ce dont il a besoin. Il exporte aussi des éléments vers l’extérieur, notamment des lipides. Mais ces processus sont encore très méconnus, même chez E. coli. Ils constituent cependant une brèche intéressante à exploiter pour atteindre le cœur de bactéries pathogènes.
Les mutants ouvrent la voie
Au cours de cette recherche, qui combinait bactériologie et génétique, les chercheurs ont développé une technologie qui permet de provoquer des mutations de la bactérie Brucella mais aussi de savoir où ces mutations se situent. Ils ont réussi à fabriquer un mutant qui leur a montré la voie vers un véritable « tunnel à lipides », un passage entre les membranes interne et externe de la bactérie.

Cela donne des renseignements précieux sur une nouvelle faiblesse du pathogène et donc, fournit des informations pour mieux le combattre.

Notre recherche, financée par le FNRS et le WEL Research Institute, est fondamentale. Bien sûr, nous sommes très en amont du stade du développement de processus appliqués. Mais nous faisons ici un pas de plus pour percer les secrets de l’armure de Brucella pour, un jour, pouvoir espérer contrôler la maladie grâce à un vaccin efficace.
Une équipe de recherche internationale
- Adélie Lannoy (maintenant en post-doc à Toulouse) et Xavier De Bolle – UNamur, URBM – Belgique
- Marc Dieu et Patsy Renard - UNamur, URBC - Belgique
- Antonia García Fernández - Centro de Metabolómica y Bioanálisis (CEMBIO), Facultad de Farmacia, Universidad San Pablo-CEU – Espagne
- Raquel Condez-Alvarez - Department of Microbiology and Parasitology, Instituto de Investigación Sanitaria de Navarra (IdiSNA), University of Navarra – Espagne
Les chercheurs remercient le FNRS et le WEL Research Institute pour le soutien dans cette recherche. Ils remercient aussi la plateforme « Spectrométrie de masse – MaSUN » et la plateforme technologie « Laboratoire de biosécurité niveau 3 – BL3 » de l’UNamur pour leurs équipements de pointe et leur expertise.
Xavier De Bolle - Mini CV
Xavier De Bolle a présenté son doctorat à l'UNamur (FUNDP à l'époque) en 1995. Après 4 années de post-doc, dont une à l'université d'Oxford, il rejoint l'URBM (Biologie, Sciences), où il anime un groupe de recherche. Il a encadré 25 thèses de doctorat (dont 4 en cours) et certain.e.s de ses ancien.ne.s thésard.e.s ont généré leur propre équipe de recherche (à l'UNamur, l'UCLouvain, la VUB).
Le Professeur Xavier De Bolle est membre de l’URBM au Département de biologie de la Faculté des sciences de l’Université de Namur. Il est membre de l’Institut de recherche en sciences de la vie « Namur Research Institute for Life Sciences – Narilis ».
Depuis juin 2024, il est également Investigateur du WEL Research Institute pour le programme Welbio-Health dans la thématique « Microbiologie et maladies infectieuses ».
Ce travail illustre l’expertise de pointe développée à l’UNamur en matière de microbiologie moléculaire, domaine dans lequel l’UNamur a décidé de s’investir en organisant depuis septembre 2019, un Master en microbiologie moléculaire. Il s’agit d’un master unique en Europe, entièrement dispensé en anglais, et ancré dans la recherche.
En savoir plus sur le sujet
- De nouveaux indices pour percer l’armure de Brucella (27/02/2023) - https://unamur.be/fr/newsroom/de-nouveaux-indices-pour-percer-larmure-de-brucella
- Alison Forrester et Xavier De Bolle, lauréats du dernier appel à projets FRFS-Welbio (23/07/2024) - https://unamur.be/fr/newsroom/laureats-dernier-appel-projets-frfs-welbio

De nouveaux indices pour percer l’armure de Brucella
De nouveaux indices pour percer l’armure de Brucella
Une équipe de chercheurs en microbiologie de l’UNamur vient de publier dans la revue Nature Communications. Le travail porte sur la bactérie Brucella à l’origine de la Brucellose, une maladie qui infecte le bétail et peut se transmettre à l’homme. Cette recherche vise à mieux comprendre les mécanismes moléculaires de croissance de la bactérie afin de mieux la combattre. Explications.

L’étude de la bactérie Brucella est l’un des domaines de la microbiologie dans laquelle les équipes de chercheurs de l’UNamur se sont spécialisées depuis plus de vingt ans. Cette bactérie qui infecte le bétail est à l’origine de la Brucellose, une maladie transmissible à l’homme par la consommation de produits laitiers non pasteurisés, par contact avec des tissus animaux infectés ou encore par inhalation. Elle figure parmi les zoonoses les plus répandues au monde.
Au fil de ces années de recherche, l’équipe, dirigée par le professeur Xavier De Bolle, a pu établir une sorte de « catalogue » des faiblesses de Brucella. Ils ont pu mettre en évidence comment la bactérie construit son enveloppe externe, qui est son armure pour résister aux conditions extérieures. Dans ce contexte, il était également important de comprendre comment elle s’y prend pour faire grandir cette armure… sans la percer ! Le travail qui vient d’être publié montre où et comment Brucella achemine certains composants de son enveloppe vers l’extérieur. De plus, il identifie une nouvelle classe d’enzyme, une machine moléculaire complexe qui requise pour la construction d’une armure complète, et donc cruciale pour la capacité de Brucella à infecter ses hôtes.
« Grâce au travail de toute l’équipe, nous avons compris comment rendre la vie dure à Brucella. » explique le professeur Xavier De Bolle, de l’Unité de Recherche en Biologie des Microorganismes (URBM) de l’UNamur. « Notre recherche, financée par le FNRS, est fondamentale. Nous en sommes au stade qui précède le développement de processus appliqués. Mais la mise en pratique de nos découvertes pourrait à l’avenir permettre de construire un procédé biochimique qui obligerait Brucella à fabriquer une armure moins solide, voire l’empêcherait de la fabriquer tout court.
Nous avons pu bénéficier de l’appui des chimistes organiciens de l’UNamur, et notamment de l’équipe du professeur Stéphane Vincent, qui étudie également ces éléments de la paroi des bactéries. Une belle collaboration au sein de l’Institut NARILIS ».
Ces découvertes viennent d’être publiées dans la prestigieuse revue scientifique Nature Communications. Elles illustrent l’expertise de pointe développée à l’UNamur en matière de microbiologie moléculaire. Domaine dans lequel l’UNamur a décidé de s’investir encore davantage en organisant depuis septembre 2019, un Master en microbiologie moléculaire. Pour rappel, il s’agit d’un master unique en Europe, entièrement dispensé en anglais, ancré dans la recherche.